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dc.contributor.advisorKoukoulopoulos, Dimitrios
dc.contributor.authorHaddad, Tony
dc.date.accessioned2021-05-31T18:47:36Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2021-05-31T18:47:36Z
dc.date.issued2021-03-24
dc.date.submitted2020-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/25109
dc.subjectCourses de nombres premiersfr
dc.subjectBiais de Chebyshevfr
dc.subjectFormule explicitefr
dc.subjectFonctions Lfr
dc.subjectNombres premiers de Sophie Germainfr
dc.subjectCrible de Selbergfr
dc.subjectModèle de Cramérfr
dc.subjectMéthode du cerclefr
dc.subjectThéorie analytique des nombresfr
dc.subjectPrime number racesfr
dc.subjectChebyshev's biasfr
dc.subjectExplicit formulafr
dc.subjectL-functionsfr
dc.subjectSophie Germain primesfr
dc.subjectSelberg sievefr
dc.subjectCramér's modelfr
dc.subjectCircle methodfr
dc.subjectAnalytic number theoryfr
dc.subject.otherMathematics / Mathématiques (UMI : 0405)fr
dc.titlePrime number racesfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineMathématiquesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractSous l’hypothèse de Riemann généralisée et l’hypothèse d’indépendance linéaire, Rubinstein et Sarnak ont prouvé que les valeurs de x > 1 pour lesquelles nous avons plus de nombres premiers de la forme 4n + 3 que de nombres premiers de la forme 4n + 1 en dessous de x ont une densité logarithmique d’environ 99,59%. En général, l’étude de la différence #{p < x : p dans A} − #{p < x : p dans B} pour deux sous-ensembles de nombres premiers A et B s’appelle la course entre les nombres premiers de A et de B. Dans ce mémoire, nous cherchons ultimement à analyser d’un point de vue numérique et statistique la course entre les nombres premiers p tels que 2p + 1 est aussi premier (aussi appelés nombres premiers de Sophie Germain) et les nombres premiers p tels que 2p − 1 est aussi premier. Pour ce faire, nous présentons au préalable l’analyse de Rubinstein et Sarnak pour pouvoir repérer d’où vient le biais dans la course entre les nombres premiers 1 (mod 4) et les nombres premiers 3 (mod 4) et émettons une conjecture sur la distribution des nombres premiers de Sophie Germain.fr
dcterms.abstractUnder the Generalized Riemann Hypothesis and the Linear Independence Hypothesis, Rubinstein and Sarnak proved that the values of x which have more prime numbers less than or equal to x of the form 4n + 3 than primes of the form 4n + 1 have a logarithmic density of approximately 99.59%. In general, the study of the difference #{p < x : p in A} − #{p < x : p in B} for two subsets of the primes A and B is called the prime number race between A and B. In this thesis, we will analyze the prime number race between the primes p such that 2p + 1 is also prime (these primes are called the Sophie Germain primes) and the primes p such that 2p − 1 is also prime. To understand this, we first present Rubinstein and Sarnak’s analysis to understand where the bias between primes that are 1 (mod 4) and the ones that are 3 (mod 4) comes from and give a conjecture on the distribution of Sophie Germain primes.fr
dcterms.languageengfr
UdeM.ORCIDAuteurThese0000-0001-8595-9031fr


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