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dc.contributor.advisorPagani, Linda S.
dc.contributor.authorSimonato, Isabelle
dc.date.accessioned2018-06-05T14:25:24Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2018-06-05T14:25:24Z
dc.date.issued2018-03-21
dc.date.submitted2017-06
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/20326
dc.subjectTélévisionfr
dc.subjectEnfancefr
dc.subjectDéveloppement de l'enfantfr
dc.subjectHabitudes de viefr
dc.subjectSédentaritéfr
dc.subjectTelevisionfr
dc.subjectToddlerhoodfr
dc.subjectChild developmentfr
dc.subjectLifestyle habitsfr
dc.subjectSedentaryfr
dc.subject.otherEducation - Educational Psychology / Éducation - Psychologie pédagogique ou de l'éducation (UMI : 0525)fr
dc.titleAssociations prospectives entre l’écoute de la télévision en petite enfance et les habitudes de vie ultérieures de l’enfantfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePsychoéducationfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractContexte. L’écoute de la télévision est une activité populaire et pratiquée de façon quasi quotidienne par la majorité des gens, tout âge confondu. Plusieurs études ont montré des associations concurrentes de l’écoute de la télévision en bas âge, mais les impacts potentiels à long terme de cette activité pratiquée en bas âge sont peu connus. Objectif. Cette étude a pour but (1) d’identifier les associations prospectives entre les habitudes télévisuelles en petite enfance et les habitudes de vie ultérieures en début d’adolescence ainsi que (2) comparer les résultats obtenus avec le respect des recommandations émises par l’American Academy of Pediatrics. Méthode. Les 1958 participants (977 filles et 981 garçons) proviennent de l’Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ÉLDEQ). La mère a rapporté le nombre d’heures d’écoute de télévision lorsque son enfant avait 2 ans. Ensuite, lorsque l’enfant était âgé de 13 ans, il a auto-rapporté la qualité de ses habitudes alimentaires, sa prise de déjeuner les matins de semaine, son temps d’écran hebdomadaire et son engagement scolaire. Son indice de masse corporelle (IMC) a également été calculé à 13 ans. Des associations linéaires prospectives à long terme ont été réalisées en utilisant des analyses de régressions multiples et en intégrant plusieurs variables de contrôle dans le modèle. Résultats. L’écoute plus accrue de la télévision à 2 ans était associée à une prise de déjeuner moins fréquente (b = -0,06; 95% intervalle de confiance [IC], -0,09 à -0,04), à une alimentation plus malsaine (b = 0,05; 95% IC, 0,02 à 0,07), à un IMC plus élevé, (b = 0,38; 95% IC, 0,26 à 0,50), à un volume plus important du temps d’écran (b = 0,06; 95% IC, 0,02 à 0,11) et à un engagement scolaire plus faible (b = -0,07; 95% IC, -0,14 à -0,004) à 13 ans. Conclusion. L’écoute de la télévision en jeune âge a une portée négative sur les habitudes de vie en début d’adolescence. Une surveillance en bas âge de cette activité sédentaire ainsi que le respect des nouvelles recommandations de l’American Academy of Pediatrics devrait être effectuée par les parents afin de prévenir des effets néfastes à long terme chez les enfants.fr
dcterms.abstractBackground. Television viewing is a frequent activity for anybody at all ages. Many studies show its concurrent impact on toddlers, but less is known about its longer-term influence on child’s development. Objective. This study aimed (1) to examine the long-term association of televiewing in toddlerhood on later lifestyle habits in early adolescence and (2) to compare the results with the American Academy of Pediatrics’ recommendations. Methods. Participants are from a prospective longitudinal birth cohort of 1 085 girls and 1 138 boys from the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD). Parents reported data on daily televiewing of their child at age 2. At age 13, child self-reported ratings of eating habits, consumption of breakfast on weekdays, daily screen time, and engagement in school. Body mass index (BMI) was computed from height and weight when children were aged 13. We conducted multiple ordinary least squares regressions in which many confounders were included to reduce possible bias. Results. Televiewing at age 2 predicted lower frequency of consuming breakfast on weekdays (b = -0.06, 95% confidence interval [CI], -0.09 to -0.04), unhealthier eating habits (b = 0.05, 95% CI, 0.02 to 0.07), higher BMI (b = 0.38, 95% CI, 0.26 to 0.50), higher screen time (b = 0.06, 95% CI, 0.02 to 0.11), and lower student engagement (b = -0.07, 95% CI, -0.14 to -0.004) at age 13. Conclusion. Televiewing in toddlerhood appears to influence lifestyle habits in early adolescence. From a population health perspective, strategies such as educational campaigns designed to reinforce the new AAP recommendations of less than 1 hour of daily screen time for toddlers over age 2 seem warranted, in order to reduce its possible adverse impact on child development.fr
dcterms.languagefrafr


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