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dc.contributor.advisorPagani, Linda S.
dc.contributor.authorHarbec, Marie-Josée
dc.date.accessioned2016-11-14T17:16:08Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2016-11-14T17:16:08Z
dc.date.issued2016-09-28
dc.date.submitted2016-06
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/16203
dc.subjectRepas en famillefr
dc.subjectEnvironnement familialfr
dc.subjectRelations parent-enfantfr
dc.subjectDéveloppement de l'enfantfr
dc.subjectÉtude longitudinalefr
dc.subjectFamily mealsfr
dc.subjectFamily environmentfr
dc.subjectParent-child relationsfr
dc.subjectChild developmentfr
dc.subjectLongitudinal studyfr
dc.subject.otherPsychology - Developmental / Psychologie du développement (UMI : 0620)fr
dc.titleAssociations prospectives entre l'environnement des repas en famille et le développement bio-psycho-social d'enfants d'âge scolairefr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePsychoéducationfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractContexte. Depuis quelques années, plusieurs études se sont intéressées aux effets protecteurs des repas en famille sur divers aspects du développement des enfants et des adolescents. Objectif. Identifier les associations prospectives entre l'environnement des repas en famille à 6 ans et le développement bio-psycho-social à 10 ans. Méthode. Les participants sont 1 085 filles et 1 138 garçons faisant partie de l'Étude Longitudinale du Développement des Enfants du Québec (ÉLDEQ), qui a sélectionné un échantillon aléatoire et stratifié en utilisant le registre des naissances du Québec. Dans ce devis prospectif-longitudinal, les parents ont fourni une mesure sur l'environnement de leurs repas en famille à l'âge de 6 ans. Quatre années plus tard, les parents ont également fourni des mesures sur le niveau de condition physique de leur enfant ainsi que sa fréquence de consommation de boissons gazeuses; les enseignants ont mesuré la réussite en lecture et en mathématiques; les enfants ont auto-rapporté leurs niveaux d’agressivité physique globale, d’opposition, du trouble du comportement non agressif et d’agressivité réactive. Des analyses de régressions multiples ont été réalisées. Résultats. Un environnement plus sain lors des repas en famille à 6 ans a prédit les bénéfices suivants à 10 ans : une augmentation de la condition physique (β = 0,24; 95 % intervalle de confiance [IC], 0,12 à 0,36) ainsi qu'une diminution de la consommation de boissons gazeuses (β = -0,43; 95 % IC, -0,62 à -0,23), de l'agressivité physique globale (β = -0,38; 95 % IC, -0,58 à -0,18), de l'opposition (β = -0,72; 95 % IC, -1 à -0,4), du trouble du comportement non agressif (β = -0,33; 95 % IC, -0,50 à -0,17) et de l'agressivité réactive (β = -0,70; 95 % IC, -0,98 à -0,42). Contrairement à nos attentes, l'environnement des repas en famille n'était pas significativement relié au rendement scolaire. Conclusion. Les repas familiaux ont une forte influence à long terme sur le développement de l'enfant, par rapport à sa santé physique et à son ajustement social. Par conséquent, ils pourraient nourrir une campagne informative intéressante qui porterait sur la promotion de la santé mentale et physique des jeunes à travers ce rituel social.fr
dcterms.abstractBackground. Recent research suggests that family meals have a strong influence as a child-rearing environment variable, which could in turn be beneficial to adaptive functioning. Objective. To examine the influence of family meal environment at age 6 on later bio-psycho-social developmental outcomes at age 10. Methods. Participants are from a prospective longitudinal birth cohort of 1 085 girls and 1 138 boys from the Quebec Longitudinal Study of Child Development (QLSCD) with parent-reported data on family meal environment at age 6. We conducted a series of ordinary least-squares regressions in which children’s scores on parent reports of general fitness and soft drink consumption, teacher reports of reading and mathematics success, as well as child self-reports of physical aggression, opposition behavior, non-aggressive delinquency, and reactive aggression, were linearly regressed on early family meal environment. Results. A healthier family meal environment at age 6 predicted the following outcomes at age 10: increases in general fitness (β = 0.24; 95%confidence interval [CI], 0.12 to 0.36) and decreases in soft drink consumption (β = -0.43; 95% CI, -0.62 to -0.23), physical aggression (β = -0.38; 95% CI, -0.58 to -0.18), opposition behavior (β = -0.72; 95% CI, -1 to -0.4), non-aggressive delinquency (β = -0.33; 95% CI, -0.50 to -0.17), and reactive aggression (β = -0.70; 95% CI, -0.98 to -0.42). Surprisingly, family meal environment was not significantly related to school achievement. Conclusions. From a population-health perspective, family meals have a strong long-term influence on child development, with respect to health habits and social adjustment. Therefore, they could be potentially featured in an informative campaign on mental and physical health of young people.fr
dcterms.languagefrafr


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