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dc.contributor.advisorVincent, Pascal
dc.contributor.authorBosc, Tom
dc.date.accessioned2023-09-13T19:20:16Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2023-09-13T19:20:16Z
dc.date.issued2023-08-15
dc.date.submitted2022-09
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/28676
dc.subjectNatural Language Processingfr
dc.subjectMachine Learningfr
dc.subjectTraitement Automatique des Languesfr
dc.subjectApprentissage Automatiquefr
dc.subjectArtificial Intelligencefr
dc.subjectIntelligence Artificiellefr
dc.subjectSemanticsfr
dc.subjectSémantiquefr
dc.subjectAutoencoderfr
dc.subjectAutoencodeurfr
dc.subjectDeep Learningfr
dc.subjectApprentissage Profondfr
dc.subjectArtificial Neural Networksfr
dc.subjectRéseaux de Neurones Artificielsfr
dc.subject.otherArtificial intelligence / Intelligence artificielle (UMI : 0800)fr
dc.titleAutoencoders for natural language semanticsfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineInformatiquefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelDoctorat / Doctoralfr
etd.degree.namePh. D.fr
dcterms.abstractLes auto-encodeurs sont des réseaux de neurones artificiels qui apprennent des représentations. Dans un auto-encodeur, l’encodeur transforme une entrée en une représentation, et le décodeur essaie de prédire l’entrée à partir de la représentation. Cette thèse compile trois applications de ces modèles au traitement automatique des langues : pour l’apprentissage de représentations de mots et de phrases, ainsi que pour mieux comprendre la compositionnalité. Dans le premier article, nous montrons que nous pouvons auto-encoder des définitions de dictionnaire et ainsi apprendre des vecteurs de définition. Nous proposons une nouvelle pénalité qui nous permet d’utiliser ces vecteurs comme entrées à l’encodeur lui-même, mais aussi de les mélanger des vecteurs distributionnels pré-entraînés. Ces vecteurs de définition capturent mieux la similarité sémantique que les méthodes distributionnelles telles que word2vec. De plus, l’encodeur généralise à un certain degré à des définitions qu’il n’a pas vues pendant l’entraînement. Dans le deuxième article, nous analysons les représentations apprises par les auto-encodeurs variationnels séquence-à-séquence. Nous constatons que les encodeurs ont tendance à mémo- riser les premiers mots et la longueur de la phrase d’entrée. Cela limite considérablement leur utilité en tant que modèles génératifs contrôlables. Nous analysons aussi des variantes architecturales plus simples qui ne tiennent pas compte de l’ordre des mots, ainsi que des mé- thodes basées sur le pré-entraînement. Les représentations qu’elles apprennent ont tendance à encoder plus nettement des caractéristiques globales telles que le sujet et le sentiment, et cela se voit dans les reconstructions qu’ils produisent. Dans le troisième article, nous utilisons des simulations d’émergence du langage pour étudier la compositionnalité. Un locuteur – l’encodeur – observe une entrée et produit un message. Un auditeur – le décodeur – tente de reconstituer ce dont le locuteur a parlé dans son message. Nous émettons l’hypothèse que faire des phrases impliquant plusieurs entités, telles que « Jean aime Marie », nécessite fondamentalement de percevoir chaque entité comme un tout. Nous dotons certains agents de cette capacité grâce à un mechanisme d’attention, alors que d’autres en sont privés. Nous proposons différentes métriques qui mesurent à quel point les langues des agents sont naturelles en termes de structure d’argument, et si elles sont davantage analytiques ou synthétiques. Les agents percevant les entités comme des touts échangent des messages plus naturels que les autres agents.fr
dcterms.abstractAutoencoders are artificial neural networks that learn representations. In an autoencoder, the encoder transforms an input into a representation, and the decoder tries to recover the input from the representation. This thesis compiles three different applications of these models to natural language processing: for learning word and sentence representations, as well as to better understand compositionality. In the first paper, we show that we can autoencode dictionary definitions to learn word vectors, called definition embeddings. We propose a new penalty that allows us to use these definition embeddings as inputs to the encoder itself, but also to blend them with pretrained distributional vectors. The definition embeddings capture semantic similarity better than distributional methods such as word2vec. Moreover, the encoder somewhat generalizes to definitions unseen during training. In the second paper, we analyze the representations learned by sequence-to-sequence variational autoencoders. We find that the encoders tend to memorize the first few words and the length of the input sentence. This limits drastically their usefulness as controllable generative models. We also analyze simpler architectural variants that are agnostic to word order, as well as pretraining-based methods. The representations that they learn tend to encode global features such as topic and sentiment more markedly, and this shows in the reconstructions they produce. In the third paper, we use language emergence simulations to study compositionality. A speaker – the encoder – observes an input and produces a message about it. A listener – the decoder – tries to reconstruct what the speaker talked about in its message. We hypothesize that producing sentences involving several entities, such as “John loves Mary”, fundamentally requires to perceive each entity, John and Mary, as distinct wholes. We endow some agents with this ability via an attention mechanism, and deprive others of it. We propose various metrics to measure whether the languages are natural in terms of their argument structure, and whether the languages are more analytic or synthetic. Agents perceiving entities as distinct wholes exchange more natural messages than other agents.fr
dcterms.languageengfr


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