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dc.contributor.authorBrochu-Lafontaine, Virginie
dc.contributor.authorLemay, Guy
dc.date.accessioned2015-12-22T21:21:55Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2015-12-22T21:21:55Z
dc.date.issued2012-02
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/12842
dc.description.sponsorshipConseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canadafr
dc.publisherElsevierfr
dc.subjectVirusfr
dc.subjectVirus oncolytiquesfr
dc.subjectOncolytic virusesfr
dc.subjectReverse geneticsfr
dc.subjectGénétique inversefr
dc.subjectTagfr
dc.subjectEpitopefr
dc.subjectÉpitopefr
dc.titleAddition of exogenous polypeptides on the mammalian reovirus outer capsid using reverse geneticsfr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de médecine. Département de microbiologie, infectiologie et immunologiefr
dc.identifier.doi10.1016/j.jviromet.2011.11.021
dcterms.abstractAddition of exogenous peptide sequences on viral capsids is a powerful approach to study the process of viral infection or to retarget viruses toward defined cell types. Until recently, it was not possible to manipulate the genome of mammalian reovirus and this was an obstacle to the addition of exogenous sequence tags onto the capsid of a replicating virus. This obstacle has now been overcome by the advent of the plasmid-based reverse genetics system. In the present study, reverse genetics was used to introduce different exogenous peptides, up to 40 amino acids long, at the carboxyl-terminal end of the σ1 outer capsid protein. The tagged viruses obtained were infectious, produce plaques of similar size, and could be easily propagated at hight titers. However, attempts to introduce a 750 nucleotides-long sequence failed, even when it was added after the stop codon, suggesting a possible size limitation at the nucleic acid level.fr
dcterms.abstractL'addition aux capsides virales de séquences peptidiques exogènes est une approche puissante pour l'étude des processus d'infection virale ou pour cibler des virus vers des types cellulaires bien définis. Jusqu'à récemment, il n'était pas possible de manipuler le génome du réovirus de mammifères et ceci était un obstacle à l'addition de telles étiquettes exogènes sur la capside d'un virus pouvant se répliquer. Cet obstacle a maintenant été surmonté par la mise au point d'un système de génétique inverse à base de plasmides. Dans la présente étude, la génétique inverse a été utilisée pour introduire différents peptides exogènes, jusqu'à 40 acides aminés de longueur, à l'extrémité carboxyle de la protéine de capside externe σ1. Les virus obtenus étaient infectieux, produisent des plages de taille similaire, et peuvent être propagés facilement. Cependant, les efforts pour introduire une séquence de 750 nucléotides de longueur ont été infructueux, même lorsqu'un codon de terminaison était introduit avant celle-ci, suggérant une limite de taille au niveau des acides nucléiques.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:0166-0934
dcterms.languageengfr
UdeM.VersionRioxxVersion acceptée / Accepted Manuscript
oaire.citationTitleJournal of virological methods
oaire.citationVolume179
oaire.citationIssue2
oaire.citationStartPage342
oaire.citationEndPage350


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