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dc.contributor.advisorGarneau, Michèle
dc.contributor.authorPoliquin, Philippe
dc.date.accessioned2012-09-07T20:09:41Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2012-09-07T20:09:41Z
dc.date.issued2012-08-03
dc.date.submitted2011-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/8505
dc.subjecttélévisionen
dc.subjecttelevisionen
dc.subjectSociété-Radio-Canadaen
dc.subjectintellectuels canadiens-françaisen
dc.subjectfrench-canadian intellectualsen
dc.subjectAndré Laurendeauen
dc.subjectidéologieen
dc.subjectideologiesen
dc.subjectdiaspora canadienne-françaiseen
dc.subjectfrench-canadian diasporaen
dc.subjectéducation télévisuelleen
dc.subjecttelevisual educationen
dc.subject.otherHistory - Canadian / Histoire - Canadienne (UMI : 0334)en
dc.titleTélé/visions : les intellectuels canadiens-français et l'avènement de la télévision (1952-1962)en
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineÉtudes cinématographiquesen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM.A.en
dcterms.abstractCette étude s'intéresse à la perception de l'avènement de la télévision (1952-1962) du point de vue des intellectuels canadiens-français. À cette époque, la province du Québec est dirigée par le gouvernement conservateur de l'Union nationale de Maurice Duplessis qui semble indélogeable pendant les années 1950. En même temps, l'Église catholique maintient son contrôle sur la société canadienne-française, plus particulièrement ses idéologies. Dans ce climat, la discordance intellectuelle avec ces deux pouvoirs mène souvent à la marginalité. Pour diverses raisons, la télévision, et plus particulièrement la Société Radio-Canada (SRC), ne sont pas soumises à ces contraintes. Nouveau média, tout doit être crée pour « alimenter le monstre », comme il a été déjà dit. Si l'équivalent anglophone de la SRC peut acheter des émissions sur le marché international, la télévision francophone mondiale est embryonnaire. L'antenne montréalaise de la SRC se retrouve en situation autarcique et doit s'appuyer sur les ressources du Canada français pour créer ses émissions d'actualités et de divertissements. Un déf de taille attend les premiers artisans de la télévision. Dans ce contexte, comment les intellectuels canadiens-français ont-ils perçu l'avènement de la télévision? Cette étude tente d'apporter quelques éléments de réponse en prenant en compte l'idéologie des intellectuels.en
dcterms.abstractThis analysis examines the perception of the arrival of television (1952-1962) from the perspective of French-canadian intellectuals. At this moment in history, the Québec province's political party was the well-established Union nationale of Maurice Duplessis who seems unreplacable in the 1950s. Meanwhile, the Catholic church maintains control over the French-canadian society. Especially its ideologies. In this climate, intellectual discordance with these two powers often leads to marginalization. For various reasons, the television, espacially the Société Radio-Canada (SRC), are not subject to these constraints. A new media, everything must be created for "alimenter le monstre", as has already been said. If the English equivalent of the CBC can buy programs in the international market, the French television world is embryonic. The SRC Montreal antenna fnds itself in autarkic situation and must rely on the ressources of French Canada to create its news and entertainment programs . A challenge awaits the frsts artisans of french-canadian television. In this context, how did the French-Canadian intellectuals perceive the coming of television? This study attempts to provide some answers while taking into consideration the ideology of the intellectuals.en
dcterms.languagefraen


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