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dc.contributor.advisorGagnon, Jean
dc.contributor.authorBoulis, Monica
dc.date.accessioned2022-01-27T20:08:25Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2022-01-27T20:08:25Z
dc.date.issued2021-11-23
dc.date.submitted2020-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/26108
dc.subjectAnxietyfr
dc.subjectAggressionfr
dc.subjectHostile Attribution Biasfr
dc.subjectEEGfr
dc.subjectN400fr
dc.subjectHostile Expectancy Violation Paradigmfr
dc.subjectElectrophysiologyfr
dc.subjectAnxiétéfr
dc.subjectAgressivitéfr
dc.subjectBiais d’attribution d’intention hostilefr
dc.subjectÉlectrophysiologiefr
dc.subject.otherPsychology - Cognitive / Psychologie cognitive (UMI : 0633)fr
dc.titleElectrophysiological markers for hostile attribution bias among individuals with anxietyfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePsychologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractBackground: Anxiety disorders constitute the most prevalent subgroup of mental health conditions. While anxious individuals are more widely known as being socially withdrawn and shy, recent research highlights a rather non-prototypical image, one that is aggressive. The main goal of this event-related brain potentials (ERPs) study is to augment our knowledge of the neurophysiological responding of hostile attribution biases of anxious individuals to ambiguous situations. Methods: Using pre-collected data from a sample of 68 undergraduate and community-based adult participants, this study aims to explore the N400 deflection utilising Gagnon et al.’s (2016) Hostile Expectancy Violation Paradigm with anxious individuals, and whether the N400 deflection persists after controlling for aggression. Results: A more negative amplitude was observed in response to a critical word that mismatched rather than matched with the character’s expected hostile intention. Regression analyses revealed that anxiety scores negatively predicted the N400 following the mismatched expected hostile intention while controlling for reactive aggression suggesting that the violation of hostile expectancy about the intention behind an ambiguous provocative behavior is more pronounced among anxious participants. Conversely, in the hostile condition, the overall model was significant, although anxiety scores did not account for the overall effect, reactive aggression did. Conclusion: This study provides preliminary evidence that anxiety symptoms are uniquely related to hostile attribution bias independent of reactive aggression. Future research should aim to replicate these findings with a clinically diagnosed sample of individuals with anxiety disorders.fr
dcterms.abstractContexte : Les troubles anxieux constituent un sous-groupe le plus répandu dans les conditions de santé mentales. Malgré cette prévalence, ils ne reçoivent pas la même reconnaissance en raison des comorbidités, une étiologie inconnu et une manque de traitement spécifique. Récemment, la littérature scientifique s'est concentré sur la neuro-imageries de l`anxiété. Par contre, une compréhension plus complète sur comment l'électrophysiologie et le stress interagissent et mène aux symptômes de l’anxiété est requis. Méthodologie : À l'aide de données pré-recueillies auprès d'un échantillon de 68 participants, cette étude visait à étudier la déflexion N400 en utilisant le Paradigme de la Violation d'Espérance Hostile de Gagnon et al. (2016) chez les individus adultes présentant de l'anxiété. Résultats : dans la condition non-hostile, nous avons observez une déflection négative significative du N400 chez les individus qui ont un score de BIAH plus élevée, en contrôlant pour l’agressivité. Les analyses de régressions ont démontré une déflection négative du N400. En d’autres mots, les adultes qui ont plus d'anxiété étaient surpris suivant un contexte hostile et une intention non hostile car il s'attendait à une contexte hostile. Tandis que dans la condition hostile, le modèle global s’est avéré significatif, par contre l’agressivité réactive a tenu compte de l'effet global et n’ont pas les scores d’anxiétés. Conclusion : À notre connaissances, aucune articles scientifiques à explorer le BAIH avec des mesures électrophysiologique du cerveaux, comme preuve des influences des symptômes d'anxiété sur la cognition. Cette recherche à augmenter notre connaissance sur la présence du BAIH chez les adultes avec des symptômes d’anxiété en examinant des marqueurs électrophysiologique du cerveaux. Les implications et limites de l’étude sont également discutées. Reproduire ces résultats avec un échantillon cliniquement diagnostiqué de personnes souffrant de troubles anxieux, devrait donc être l'une des priorités de la recherche future.fr
dcterms.languageengfr


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