Vers un modèle écologique de la victimisation en milieu scolaire
dc.contributor.author | Côté, Anne-Marie | |
dc.contributor.author | Blais, Étienne | |
dc.contributor.author | Ouellet, Frédéric | |
dc.date.accessioned | 2020-05-05T19:07:10Z | |
dc.date.available | NO_RESTRICTION | fr |
dc.date.available | 2020-05-05T19:07:10Z | |
dc.date.issued | 2015 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/23338 | |
dc.publisher | Presses de l’Université de Montréal | fr |
dc.subject | École | fr |
dc.subject | Violence | fr |
dc.subject | Victimisation | fr |
dc.subject | Perspective écologique | fr |
dc.subject | Gardiens | fr |
dc.title | Vers un modèle écologique de la victimisation en milieu scolaire | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. École de criminologie | fr |
dc.identifier.doi | 10.7202/1029357ar | |
dcterms.abstract | Cet article s’inspire de la perspective écologique pour vérifier la contribution des effets de facteurs individuels, contextuels et environnementaux sur le risque de victimisation en milieu scolaire. L’accent est mis particulièrement sur le rôle des gardiens potentiels, des superviseurs et des victimes. Pour ce faire, un questionnaire a été administré aux élèves de 16 écoles primaires d’une région urbaine du Québec (N = 838) afin de sonder leurs expériences de violence en milieu scolaire. Les données ont été analysées à l’aide d’un modèle linéaire hiérarchique généralisé (MLHG), ce qui permet d’intégrer simultanément des variables sur le plan de l’école et de l’élève. Les résultats indiquent que 44,2 %, 74 % et 22,3 % des élèves ont été respectivement victimes de violence physique, verbale et sur Internet au cours du dernier mois. Les résultats montrent que l’adoption de comportements violents augmente le risque de victimisation verbale et physique chez les élèves. Les interventions des témoins (gardiens potentiels) réduisent significativement le risque de victimisation tout comme l’autodéfense de la part des victimes. Demander de l’aide aux superviseurs (enseignants, surveillants ou parents) accroît le risque de victimisation. Inciter les témoins à intervenir représente une piste qui pourrait être éventuellement intégrée aux programmes de prévention. | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:0316-0041 | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1492-1367 | fr |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.ReferenceFournieParDeposant | Côté A.-M., Blais, E. & Ouellet, F. (2015). Vers un modèle écologique de la victimisation en milieu scolaire. Criminologie, 48(1), 261-286. | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | fr |
oaire.citationTitle | Criminologie | |
oaire.citationVolume | 48 | |
oaire.citationIssue | 1 | |
oaire.citationStartPage | 261 | |
oaire.citationEndPage | 286 |
Files in this item
This item appears in the following Collection(s)
This document disseminated on Papyrus is the exclusive property of the copyright holders and is protected by the Copyright Act (R.S.C. 1985, c. C-42). It may be used for fair dealing and non-commercial purposes, for private study or research, criticism and review as provided by law. For any other use, written authorization from the copyright holders is required.