Show item record

dc.contributor.advisorMariniello, Silvestra
dc.contributor.authorLegault-Moffett, Camille
dc.date.accessioned2018-05-30T15:54:46Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2018-05-30T15:54:46Z
dc.date.issued2018-03-21
dc.date.submitted2017-03
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/20173
dc.subjectpertefr
dc.subjectrencontrefr
dc.subjectdevenirfr
dc.subjectexperiencefr
dc.subjectimpossiblefr
dc.subjectdonfr
dc.subjectevenementfr
dc.subjectDerridafr
dc.subjectarchivesfr
dc.subjectlossfr
dc.subjectencounterfr
dc.subjectbecomingfr
dc.subjectgiftfr
dc.subjecteventfr
dc.subject.otherCommunications and the Arts - Cinema / Communications et les arts - Cinéma (UMI : 0900)fr
dc.titleFigures de l'impossible : perte, rencontre, devenirfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineÉtudes cinématographiquesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractCe mémoire de maîtrise porte sur l’expérience de l’impossible dans deux documentaires, sollicitant et remontant divers matériaux d’archives familiales, dans lesquels a lieu l’épreuve de la perte d’un être cher. L’expérience de l’impossible qu’on nommera aussi, s’inspirant de Gilles Deleuze, le « devenir » serait un engagement, une attitude, une éthique pour appréhender, reconnaître et participer « autrement » au monde. Dans les cas d’étude proposés, il s’agirait – en s’appuyant sur les concepts, théorisés par Jacques Derrida, de « don » et d’« événement », comme deux figures de l’impossible – de transformer le rapport communément associé à la perte (du côté de la nostalgie, de la souffrance, du désespoir) en une autre disposition, celle du « devenir », davantage capable d’accepter, de recevoir « ce qui arrive » en amorçant une nouvelle expérience du réel et de la réalité. C’est en défendant l’idée que le « devenir » trouverait en le cinéma son médium idéal – en tant qu’il est le lieu d’un partage et d’une transmission – que j’analyserai la manière dont il se déploie dans Un’ora sola ti vorrei (Alina Marazzi, 2002) et de Mort à Vignole (Olivier Smolders, 1998). En effet, si l’expérience cinématographique est toujours l’espace d’une rencontre agissant, de manière directe, sur la perception et les multiples sensations du spectateur (comme capacité à accueillir ce qui restait de l’ordre de l’inattendu, de l’inédit, de l’improbable) je m’intéresserai à comment celui-ci parviendrait à s’envisager à travers l’expérience de ce débordement. En somme, à comment le cinéma – et plus spécifiquement à des films traitant de l’épreuve douloureuse d’une perte – donnerait à vivre l’expérience de l’impossible et comment celle-ci s’instaurerait comme un regard neuf pour engager une nouvelle présence au monde.fr
dcterms.abstractThis master thesis examines the experience of the impossible in two documentaries, reassembling and reagencing family archives material (home-movies, photographs, diaries), in which there is an experience of loss and mourning. The experience of the impossible that I'll also refer to as 'becoming' - from Gilles Deleuze's designation - will be considered as a committment, an attitude, an ethic to apprehend, acknowledge and to engage a 'wholly otherwise' presence in the world. This case study will analyze, refering to Jacques Derrida's concepts of 'gift' and 'event', both considered as figures of the impossible, how the relation commonly associated to the experience of loss (holding on to nostalgia, suffering, despair) can be transformed into a new disposition more capable to accept and welcome 'what comes'. This last ability would, therefore, initiate a new experience of the reality. It is by defending the notion of 'becoming' – as an intrinsic feature within the film medium and as an exemplary space of 'distribution of the Sensible' – that I will study its incedences in Un'ora sola ti vorrei (Alina Marazzi, 2002) and in Mort à Vignole (Olivier Smolders, 1998). If the film experience always supposes and implies an encounter acting directly on the perception of the spectator and his various sensations (as a capability to welcome, what was thenceforth, unexpected and unlikely) my interest will focus on how he could apprehend and embrace this new experience. In short, how film - and more outstandingly films in which a painful experience of loss takes place - emerges as an experience of the impossible and thereupon as a undeniable new way of 'being-in-the-world'.fr
dcterms.descriptionRéalisé dans le cadre du programme IMACS avec l'Université Sorbonne Nouvelle-Paris 3 et la Goethe-Universität Frankfurtfr
dcterms.languagefrafr


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show item record

This document disseminated on Papyrus is the exclusive property of the copyright holders and is protected by the Copyright Act (R.S.C. 1985, c. C-42). It may be used for fair dealing and non-commercial purposes, for private study or research, criticism and review as provided by law. For any other use, written authorization from the copyright holders is required.