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dc.contributor.authorShtaltovna, Anastasiya
dc.contributor.authorPurwaningrum, Farah
dc.date.accessioned2016-08-08T20:37:28Z
dc.date.available2016-08-08T20:37:28Z
dc.date.issued2016-03
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/14077
dc.publisherUniversité de Montréal. Centre d'études et de recherches internationalesfr
dc.subjectEthnographic researchfr
dc.subjectCentral Asiafr
dc.subjectSoutheast Asiafr
dc.subjectSocial science researchfr
dc.subjectUzbekistanfr
dc.subjectTajikistanfr
dc.subjectKazakhstanfr
dc.subjectIndonesiafr
dc.subjectBrunei Darussalamfr
dc.subjectAsie centralefr
dc.subjectAsie du Sud-Estfr
dc.subjectRecherche en sciences socialesfr
dc.subjectRecherche ethnographiquefr
dc.titlePositionality and Comparisons: Critical Views on Qualitative Research across Asiafr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Centre d'études et de recherches internationalesfr
dcterms.abstractCe cahier est basé sur la réflexion autobiographique de deux chercheuses ayant effectué des recherches qualitatives et ethnographiques, de 2008 à 2014, en Asie centrale et du Sud-­‐Est. Les expériences sur le terrain constituent des moyens de comparaisons dans le présent document. En mettant l’accent sur le positionnement sur le terrain, l’étude montre que, d’abord, il est essentiel de détenir une poste intermédiaire et de parler une langue locale afin de garantir un accès et de mener des activités de recherche sur le terrain. Deuxièmement, différentes régions prédéterminent des contextes culturels et politiques ponctuels qui, à leur tour, façonneraient la recherche en sciences sociales. Troisièmement, le fait d’être une femme présente à la fois des avantages et des inconvénients. Enfin, en termes de méthodologie, les stages et les entrevues se sont avérés des méthodes fiables pour la collecte des données empiriques sur les régions ci-­‐dessus mentionnées, sans pour autant permettre de bâtir la confiance.fr
dcterms.abstractThe paper is based on the autobiographical reflection of two female researchers who have conducted qualitative and ethnographic research from 2008 to 2014 in Central Asia (CA) and in Southeast Asia (SEA). Experiences of fieldwork are proxies of comparisons in our paper. By focusing on the role of positionality in the field, our study shows, first, that having a middle ground position and speaking the local languages are imperative in order to enter and conduct ethnographic field research. Second, different regions predetermine different cultural and political settings that consequently shape the social science research. Third, being female had both advantages and disadvantages. Lastly, in terms of methodology, internships and interviews have proved to be reliable methods for collecting rich empirical data in SEA and CA, but not necessarily to build trust.fr
dcterms.languageengfr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleCahiers du CÉRIUM = CERIUM working paper
oaire.citationIssue9


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