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dc.contributor.advisorGuay, Stéphane
dc.contributor.advisorLavoie, Marc
dc.contributor.authorNachar, Nadim
dc.date.accessioned2015-10-21T18:44:39Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2015-10-21T18:44:39Z
dc.date.issued2015-10-21
dc.date.submitted2014-06
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/12370
dc.subjectÉtat de stress post-traumatiquefr
dc.subjectTrouble paniquefr
dc.subjectAnxiétéfr
dc.subjectRéactivité du rythme cardiaquefr
dc.subjectInteraction socialefr
dc.subjectSoutien social perçufr
dc.subjectPosttraumatic stress disorderfr
dc.subjectPanic disorderfr
dc.subjectAnxietyfr
dc.subjectHeart rate reactivityfr
dc.subjectSocial interactionfr
dc.subjectPerceived social supportfr
dc.subject.otherPsychology - Clinical / Psychologie clinique (UMI : 0622)fr
dc.titleL’impact d’une interaction sociale centrée sur le trauma sur la réactivité physiologique d’individus avec un état de stress post-traumatique, en fonction de leurs symptômes et de leur soutien social
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplinePsychologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelDoctorat / Doctoralfr
etd.degree.namePh. D.fr
dcterms.abstractIntroduction: Les personnes ayant développé un état de stress post-traumatique (ÉSPT) évitent systématiquement d’aborder avec leurs proches le sujet du trauma ainsi que tout élément y étant associé. Cette forme d’évitement peut entraver le processus naturel de rétablissement. Les hypothèses suivantes peuvent être énoncées à cet égard. Tout d’abord, une discussion avec une personne proche et centrée sur le trauma peut être vécue comme étant anxiogène et, par conséquent, provoquer une augmentation de la fréquence du rythme cardiaque, d’ailleurs communément connue sous le nom de réactivité du rythme cardiaque. La réactivité provoquée par une telle situation peut positivement varier en fonction de l’intensité des symptômes d’ÉSPT. Cette association entre les symptômes et la réactivité peut, à son tour, varier en fonction des perceptions de la personne anxieuse du soutien social de la part de son proche et/ou de son entourage. Il en va de même pour les individus ayant développé un trouble anxieux comparable, soit le trouble panique (TP). Toutefois, toutes ces hypothèses n’ayant pas été jusqu’à maintenant vérifiées empiriquement, la présente thèse a eu pour objectif de les tester. Méthodologie: Un total de 46 personnes avec un ÉSPT et de 22 personnes avec un TP ont complété des entrevues diagnostiques et des questionnaires auto-rapportés concernant leurs symptômes ainsi que leurs perceptions des interactions sociales soutenantes et non soutenantes ou négatives avec leur proche significatif et leur entourage. Elles ont également participé à une interaction sociale avec une personne proche et centrée sur leur trouble anxieux, situation qui incluait également des mesures continues du rythme cardiaque. Résultats: Les résultats ont démontré qu’une interaction sociale centrée sur le trauma avec une personne proche provoquait une augmentation significative de la fréquence du rythme cardiaque des participants en comparaison à une interaction sociale non conflictuelle et non anxiogène avec cette même personne. Cette réactivité du rythme cardiaque corrélait de façon significative et positive avec l’intensité de leurs symptômes d’ÉSPT. Les résultats ont également permis de constater que l’hypothèse de modération concernant les perceptions d’interactions sociales positives était partiellement confirmée, soit pour les symptômes d’évitement; les perceptions d’interactions sociales négatives étant quant à elles associées de façon significative et positive à cette réactivité (c.à.d. suivant un effet principal). Quant aux personnes avec un TP, une atténuation significative dans la fréquence de leur rythme cardiaque fut observée dans le contexte analogue, atténuation qui était positivement liée à la sévérité de leurs attaques de panique. Certaines dimensions de leurs perceptions de soutien social étaient significativement et négativement liées à cette atténuation (c.à.d. suivant un effet principal). Discussion: La présente thèse a notamment démontré qu’il existait des liens entre les symptômes d’ÉSPT et la réactivité du rythme cardiaque dans le contexte d’une interaction sociale avec un proche et centrée sur le trauma. Elle a également permis de constater que les symptômes d’ÉSPT et les perceptions d’interaction sociales positives et négatives peuvent prédire cette réactivité. Dans l’avenir, des devis longitudinaux pourront informer davantage à propos de la direction des liens ici explorés.fr
dcterms.abstractIntroduction: Individuals who have developed a posttraumatic stress disorder (PTSD) commonly make efforts to avoid trauma-oriented conversations with their significant others, which may interfere with the natural recovery process. The following hypotheses can be formulated. A trauma-oriented conversation with a significant other can be experienced as physiologically arousing by individuals with PTSD and, consequently, trigger an increase in their heart rate. Heart rate reactivity in this context can positively vary in function of the intensity of individuals’ PTSD symptoms. In addition, this association between symptoms and physiological reactivity can vary in function of anxious individuals’ perceived social support from their significant other and/or their network. The same can be conceptualized regarding individuals with panic disorder (PD). The objective of the present thesis is to empirically verify all these hypotheses. Methods: A total of 46 individuals with PTSD and 22 individuals with PD completed diagnostic interviews and self-report measures of symptoms and perceived supportive and unsupportive or negative social interactions with their significant other and their network. They also participated in an anxiety-oriented social interaction with a significant other, which included continuous heart rate measures. Results: Results showed that trauma-oriented social interaction with a significant other triggered a significant elevation in participants’ heart rates when compared to a non-anxious and non-contentious discussion with the same person. This heart rate reactivity was significantly and positively correlated with intensity of their symptoms of PTSD. Some evidence was found for the relationship between increased heart rate reactivity and the interaction between perceived social support and PTSD symptoms (e.g., symptoms of avoidance). The study also found that perceived unsupportive or negative social interactions were related to increased heart rate reactivity while talking about one's trauma (i.e., as a main effect). Regarding individuals with PD, a PD-oriented social interaction was associated with a significant decrease in mean heart rates, which positively correlated with intensity of their panic attacks. Some dimensions of perceived social support were significantly and negatively associated with this decrease, as a main effect. Discussion: This study has particularly showed that there are links between PTSD symptoms and heart rate reactivity in the context of a trauma-oriented social interaction with a significant other. It has also showed that PTSD symptoms and perceived supportive and negative social interactions can actually predict this heart rate reactivity. In the future, longitudinal designs could be used to give a more precise portrait of the directions of the links explored here.fr
dcterms.languagefrafr


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