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dc.contributor.advisorLecomte, Tania
dc.contributor.advisorAbdel-Baki, Amal
dc.contributor.authorPillay, Rowena
dc.date.accessioned2015-09-25T15:52:45Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2015-09-25T15:52:45Z
dc.date.issued2015-09-25
dc.date.submitted2015-03
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/12276
dc.subjectPsychose débutantefr
dc.subjectRelations amoureusesfr
dc.subjectIntimitéfr
dc.subjectEstime de soifr
dc.subjectAttachementfr
dc.subjectHabiletés socialesfr
dc.subjectPsychologie cliniquefr
dc.subjectEarly psychosisfr
dc.subjectRomantic relationshipsfr
dc.subjectIntimacyfr
dc.subjectSelf-esteemfr
dc.subjectAttachmentfr
dc.subjectSocial skillsfr
dc.subjectClinical psychologyfr
dc.titleFacteurs entravant la formation de relation amoureuse chez les individus ayant vécu un premier épisode psychotiquefr
dc.typeTravail étudiant / Student work
etd.degree.disciplinePsychologie cliniquefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.nameD. Psy.fr
dcterms.abstractIntroduction. Bien que plusieurs jeunes adultes avec psychose débutante désirent s’engager dans une relation amoureuse, plusieurs rapportent des difficultés à y parvenir. Toutefois, il y a peu de recherche menée sur les facteurs pouvant potentiellement expliquer les difficultés de cette population à établir une relation amoureuse. Objectif. Cette étude compare un échantillon de jeunes adultes avec psychose débutante (PD) à des adultes célibataires ou des adultes en couple sur des facteurs pouvant interférer avec le processus d’initiation de relations amoureuses. Méthodologie. Cette étude transversale compare les trois groupes (N = 83) sur l’estime de soi, l’attachement et le fonctionnement social. Les participants célibataires devaient aussi répondre à une question ouverte sur leurs difficultés amoureuses. Résultats. Aucune différence significative entre groupes n’a été trouvée pour l’estime de soi, bien que le manque de confiance en soi était la deuxième raison la plus évoquée par les participants célibataires avec PD lorsque questionnés sur les raisons de leur célibat. Les participants célibataires avec PD avaient des scores plus élevés sur l’échelle de préoccupation liée à l’attachement que les étudiants en couple. Ils ont aussi évalués leurs habiletés d’interaction sociale plus favorablement que les étudiants célibataires, mais n’ont pas pour autant rapporté davantage d’interactions que ceux-ci. Les participants avec PD et ceux du groupe témoin célibataire ont des perceptions plus négatives de leurs habiletés liées à l’intimité et rapportent moins de comportements intimes comparés aux participants en couple. Conclusion. De futures interventions visant à améliorer la capacité des jeunes adultes à former une relation amoureuse pourraient cibler la perception de leurs habiletés d’interaction, la préoccupation d’être aimé, la perception négative de leurs habiletés d’intimité, la fréquence des comportements d’intimité et le manque de confiance.fr
dcterms.abstractBackground. Although many young adults with early psychosis desire to engage in a romantic relationship, many report having difficulties in engaging in such a relationship. However, almost no research has been conducted on factors potentially explaining impairments in their ability to form romantic relationships. Aim. To compare an early psychosis (EP) single young adult sample with single students or students in stable romantic relationships on factors that can cause difficulties in romantic relationship initiation processes. Methods. Cross-sectional study comparing these three groups (N= 83) on self-esteem, attachment, social functioning and perceived difficulties in dating. Results. No significant group differences were found on self-esteem, although lack of confidence was the second most frequent reason evoked by EP participants when asked why they were single. EP participants had greater attachment preoccupation than students involved in a relationship. Single EP individuals rated their social interaction abilities higher compared to single students, but did not engage in social interactions more often. Both single EP participants and single students had more negative perceptions of their intimacy abilities and fewer intimacy behaviours compared to participants involved in a relationship. Conclusions. Potential interventions to improve EP young adult’s capacity to engage in romantic relationships could target perception of their interaction skills, preoccupation about being loved, negative perception of their intimacy abilities, frequency of intimacy related behaviours and lack of confidence.fr
dcterms.descriptionEssai doctoral d’intégration présenté à la Faculté des Arts et Sciences en vue de l’obtention du grade de Doctorat en Psychologie Clinique (D.Psy)fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.cycleÉtudes aux cycles supérieurs / Graduate studies


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