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dc.contributor.advisorManirabona, Amissi Melchiade
dc.contributor.authorCournier, Marine
dc.date.accessioned2014-03-25T16:40:41Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2014-03-25T16:40:41Z
dc.date.issued2014-03-03
dc.date.submitted2013-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/10446
dc.subjectSociétés minières canadiennesfr
dc.subjectReprésentant spécial chargé de la question des droits de l’homme et des sociétés transnationales et autres entreprisesfr
dc.subjectJohn Ruggiefr
dc.subjectBureau du conseiller en RSE de l'industrie extractivefr
dc.subjectPrincipes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme: mise en oeuvre du cadre de référence «protéger, respecter et réparer» des Nations Uniesfr
dc.subjectÉconomie et droit de l'hommefr
dc.subjectResponsabilité civile des entreprises canadiennesfr
dc.subjectGuiding Principles on Business and Human Rights: Implementing the United Nations “Protect, Respect and Remedy” Frameworkfr
dc.subjectSpecial Representative of the Secretary- General on the issue of human rights and transnational corporations and other business enterprisesfr
dc.subjectCanadian mining companiesfr
dc.subjectOffice of the Extractive Sector Corporate Social Responsibility (CSR) Counsellorfr
dc.subjectBusiness and human rightsfr
dc.subjectCanada's National Contact Point (NCP)fr
dc.subjectPoint de contact national canadien (PCN)fr
dc.subjectCivil accountability of canadian's corporationsfr
dc.subject.otherSocial Sciences - Law / Sciences sociales - Droit (UMI : 0398)fr
dc.titleSociétés minières canadiennes et violations des droits de l’homme à l’étranger : le Canada respecte-t-il les prescriptions internationales en la matière?fr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineDroit internationalfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameLL. M.fr
dcterms.abstractLa présente étude a pour objectif de vérifier si le Canada respecte les prescriptions internationales en matière de droits de l’homme et d’entreprises vis-à-vis de l’encadrement qu’il exerce sur les sociétés minières canadiennes évoluant à l’étranger. En 2011, le Conseil des droits de l’homme de l’ONU a adopté des «Principes directeurs» afin de mettre en oeuvre le cadre de référence « Protéger, Respecter, Réparer » du Représentant spécial chargé de la question des droits de l’homme et des sociétés transnationales et autres entreprises. Selon ce cadre de référence, les États ont des obligations de protection et de réparation alors que les entreprises ont seulement la responsabilité de respecter les droits humains. Après six années de travail, le Représentant spécial John Ruggie, a fait le choix de formuler dans ses «Principes directeurs» des directives non contraignantes à l’égard des États et des entreprises afin de les aider à remplir leurs obligations et responsabilités vis-à-vis des droits de l’homme. Selon, l’ONU, cet instrument de portée universelle est le plus élaboré en la matière, si bien qu’il est recommandé aux entreprises et plus particulièrement aux États de s’y conformer lors de l’élaboration de leurs politiques respectives en matière d'activité économique et de droits humains. Il convient donc de vérifier d’une part si l’encadrement exercé par l’appareil législatif et gouvernemental vis-à-vis des sociétés minières canadiennes évoluant à l’étranger est conforme au principe directeur «Protéger». D’autres part, il convient de vérifier si les recours judiciaires et extrajudiciaires disponibles au Canada remplissent les exigences du principe directeur «Réparer». Cette double analyse permettra de conclure que le Canada respecte dans les grandes lignes ces «Principes directeurs» mais qu’il pourrait faire bien plus notamment en terme d’accès à des réparations effectives pour les victimes étrangères de minières canadiennes.fr
dcterms.abstractThis study propose to assess whether Canada meets the international requirements of business and human rights in relation to the supervision it has on Canadian mining companies operating abroad. In 2011, the Human rights Council adopted the Special Representative’s Guiding Principles on Business and Human Rights in order to implement the United Nations “Protect, Respect and Remedy” Framework. According to this framework, States have obligations to protect and remedy while companies only have responsibilities to respect human rights. After six years of work, the Special Representative on Business and Human rights, John Ruggie, has chosen to give in its Guiding Principles non- binding recommendations in order to help States and businesses to encounter their obligations and responsibilities towards human rights. According to the UN, this universal instrument is the most developed in the field. Thus, it is strongly recommended that companies and especially States, comply those «guiding principles» when they elaborate their respective policies on economic activity and human rights. It is therefore necessary to check first if the supervision exercised by the legislature and the government on Canadian mining companies operating abroad succeeds to comply with the "Protect" principles. On the other hand, it must be checked whether the judicial and extrajudicial remedies available in Canada meet the requirements of the «Remedy" principles. This dual analysis will led to conclude that Canada meets broadly the "Guiding Principles" but could do much more, especially in terms of access to effective remedies for foreign victims of Canadian mining companies.fr
dcterms.languagefrafr


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