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dc.contributor.advisorMelançon, Benoît
dc.contributor.authorLeduc, Diane
dc.date.accessioned2012-02-29T15:14:15Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2012-02-29T15:14:15Z
dc.date.issued2012-02-02
dc.date.submitted2011-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/6303
dc.subjectXVIIIe siècleen
dc.subjectReprésentation littéraire de livres brûlésen
dc.subjectAutodaféen
dc.subjectD'Alemberten
dc.subjectMercieren
dc.subjectRutlidgeen
dc.subjectRéception de Shakespeareen
dc.subjectEncyclopédieen
dc.subject18th centuryen
dc.subjectLiterary representation of burned booksen
dc.subjectAuto-da-féen
dc.subjectD'Alemberten
dc.subjectMercieren
dc.subjectRutlidgeen
dc.subjectReception of Shakespeareen
dc.subjectEncyclopédieen
dc.subject.otherLiterature - General / Littérature - Généralités (UMI : 0401)en
dc.titleDe quelques livres brûlés : la représentation d'autodafés de livres au Siècle des Lumièresen
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineLittératures de langue françaiseen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM.A.en
dcterms.abstractCe mémoire étudie les autodafés de livres représentés dans trois textes français de la seconde moitié du XVIIIe siècle : l’article « Bibliomanie » (1752) de l’Encyclopédie, écrit par Jean le Rond D’Alembert, le roman l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais (1770) de Louis Sébastien Mercier et la comédie le Bureau d’esprit (1776-1777) de Jean-Jacques Rutlidge. Il révèle, chez ces auteurs, une critique du livre qui paradoxalement s’accompagne de sa défense. Le premier chapitre décrit succinctement la croissance de l’imprimé en France, à l’époque, l’évolution des goûts en matière de lecture, et un imaginaire du livre dans lequel entrent une impression d’envahissement et une grande admiration pour l’écrit. Les trois chapitres subséquents suivent l’ordre chronologique de parution des textes retenus et analysent les scènes de livres brûlés qu’ils contiennent. D’Alembert et Mercier, non sans réserves, aimeraient jeter au feu la majorité des livres qui les entourent. Rutlidge constitue un cas particulier : l’autodafé vise un ouvrage précis, soit une traduction française de Shakespeare. Le mémoire, en conclusion, évoque quatre textes plus récents où sont rapportés des autodafés de livres : le poème « À qui la faute ? » de Victor Hugo, le roman Fahrenheit 451 de Ray Bradbury, la pièce les Combustibles d’Amélie Nothomb et le roman les Corpuscules de Krause de Sandra Gordon. Reprenant des idées présentes chez D’Alembert, Mercier et Rutlidge, ces œuvres illustrent leur richesse.en
dcterms.abstractThis thesis studies the burning of books as depicted in three French texts from the second half of the 18th century : the article “ Bibliomanie ” (1752) from the Encyclopédie, written by Jean le Rond D’Alembert, the novel l’An deux mille quatre cent quarante. Rêve s’il en fut jamais (1770) by Louis Sébastien Mercier, and the comedy le Bureau d’esprit by Jean-Jacques Rutlidge (1776-1777). These authors criticize books, but paradoxically defend their value. The first chapter is a succinct description of the growth of printed matter in France and of the changing tastes in reading. There is then a sense of being overwhelmed by the sheer volume of material, but at the same time a real admiration for writing itself. The next three chapters discuss the texts in chronological order, paying particular attention to the passages where books are burned. D’Alembert and Mercier, with some ambivalence, would like to commit to the flames most of the books which surround them. Rutlidge shows the ritual sacrifice of one work, a contemporary French translation of Shakespeare. In conclusion this thesis briefly considers four more recent texts dealing with the destruction of books : the poem “ À qui la faute ? ” by Victor Hugo, the novel Fahrenheit 451 by Ray Bradbury, the play les Combustibles by Amélie Nothomb, and the novel les Corpuscules de Krause by Sandra Gordon. These works develop ideas seen in D’Alembert, Mercier and Rutlidge, showing their worthiness.en
dcterms.languagefraen


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