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dc.contributor.authorMelançon, Benoît
dc.date.accessioned2024-02-12T13:05:35Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2024-02-12T13:05:35Z
dc.date.issued2024-02-08
dc.identifier.urihttp://sens-public.org/articles/1743
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/32568
dc.publisherAssociation Sens Publicfr
dc.rightsCC BY-SA 4.0 DEED Attribution - Partage dans les Mêmes Conditions 4.0 International
dc.rights.urihttps://creativecommons.org/licenses/by-sa/4.0/deed.fr
dc.subjectBelleau, Andréfr
dc.subjectCinémafr
dc.subjectJournal intimefr
dc.subjectOffice national du film du Canadafr
dc.subjectQuébecfr
dc.subjectRevue Libertéfr
dc.subjectUniversité du Québec à Montréalfr
dc.subjectCinemafr
dc.subjectDiaryfr
dc.subjectLiberté (journal)fr
dc.subjectNational Film Board of Canadafr
dc.titleAndré Belleau et le cinémafr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue françaisefr
dcterms.abstractDans le paysage intellectuel québécois, le parcours professionnel d’André Belleau (1930-1986) peut avoir de quoi étonner. Avant de devenir professeur au Département d’études littéraires de l’Université du Québec à Montréal en 1969 et d’être reconnu comme essayiste durant les années 1980, Belleau a été fonctionnaire pour le gouvernement du Canada. Son passage à l’Office national du film, de 1958 à 1967, mérite qu’on s’y attache. Il s’inscrit dans une réflexion sur le cinéma qui a occupé Belleau tout au long de sa vie. Qu’il agisse en cinéphile, en critique (notamment à la revue Liberté) ou en administrateur culturel, Belleau a longtemps réfléchi au cinéma comme forme d’art, mais aussi comme activité collective, parfois dans des documents restés inédits. Ce type de sociabilité est essentiel pour comprendre le parcours de Belleau.fr
dcterms.abstractIn Quebec’s intellectual landscape, André Belleau’s career path is unparalleled. Before becoming a professor in the Département d’études littéraires at the Université du Québec à Montréal in 1969, and gaining recognition as an essayist in the 1980s, Belleau (1930-1986) worked as a civil servant for the Canadian government. His stint at the National Film Board, from 1958 to 1967, deserves special mention. It is part of a larger reflection on cinema that has occupied Belleau throughout his life. Whether as a cinephile, a critic (notably at the literaty journal Liberté) or a cultural administrator, Belleau long reflected on cinema as an art form, but also as a collective activity, sometimes in unpublished documents. This type of sociability is essential to understanding Belleau’s career.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:2104-3272fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.ORCIDAuteurThese0000-0003-3637-3135
UdeM.ReferenceFournieParDeposantMelançon, Benoît, «André Belleau et le cinéma», Sens public, revue numérique, rubrique «Chroniques», 9 février 2024. URL : https://sens-public.org/articles/1743/ (HTML); https://sens-public.org/static/git-articles/SP1743/SP1743.pdf (PDF).fr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Recordfr
oaire.citationTitleSens publicfr


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