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dc.contributor.authorTchotourian, Ivan
dc.date.accessioned2009-07-15T16:44:24Z
dc.date.available2009-07-15T16:44:24Z
dc.date.issued2009
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/2916
dc.subjectAmérique du Norden
dc.subjectEntrepriseen
dc.subjectDroit des sociétésen
dc.subjectÉvolutionen
dc.subjectPerception nouvelleen
dc.titleLorsque le droit nord-américain des sociétés dessine les nouvelles frontières de l’entreprise : les clés pour un autre futur ?en
dc.typeArticle
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de droit. Centre de droit des affaires et du commerce internationalfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de droitfr
dcterms.abstractAlors que le droit nord-américain des sociétés a longtemps adopté une lecture restrictive de l’entreprise en faisant de l’actionnaire son maillon essentiel, le paysage juridique subi à l’heure actuelle de profondes mutations. En dépit d’une intensité différente, l’entreprise canadienne et l’entreprise américaine s’ouvrent, sous l’influence combinée de la jurisprudence et de la doctrine (qui ne font que rejoindre l’histoire), de plus en plus à leur environnement et font une place grandissante au développement durable, à la responsabilité sociale des entreprises et à la stakeholder theory. Cette étude démontre ad fine le rôle essentiel qu’est amené à jouer l’idée de collectivité. Aussi positives que soient les conséquences attachées à cette observation en termes de construction d’un futur viable dans le long terme, celle-ci est source de questionnements et impose de repenser non seulement le dessin des nouvelles frontières de l’entreprise, mais encore la signification du concept de performance.en
dcterms.languagefraen
UdeM.VersionRioxxVersion originale de l'auteur·e / Author's Original
oaire.citationTitleRevue des sciences de gestion
oaire.citationIssue243-244
oaire.citationStartPage81
oaire.citationEndPage88


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