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dc.contributor.authorMelançon, Benoît
dc.date.accessioned2023-09-11T15:08:16Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2023-09-11T15:08:16Z
dc.date.issued1996
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/28660
dc.publisherPresses de l’Université de Montréalfr
dc.titleFaire catleya au XVIIIe sièclefr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue françaisefr
dc.identifier.doi10.7202/036026ar
dcterms.abstractLes scènes amoureuses dans un véhicule hippomobile ont fasciné de très nombreux romanciers du Siècle des lumières. Les procédés narratifs choisis par ces romanciers racontent eux-mêmes quelque chose, et notamment sur la façon d'écrire l'amour au xviiie siècle. Trois de ces dispositifs narratifs — une esthétique de l'ellipse, une esthétique du tableau et une esthétique de l'« entiercement » — sont décrits, puis rapportés à deux isotopies fondamentales de la narration libertine, l'isotopie logos et l'isotopie regard.fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1492-1405fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:0014-2085fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.ORCIDAuteurThese0000-0003-3637-3135
UdeM.ReferenceFournieParDeposantMelançon, Benoît, «Faire catleya au XVIIIe siècle», Études françaises, 32, 2, automne 1996, p. 65-81.fr
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Recordfr
oaire.citationTitleÉtudes françaisesfr
oaire.citationVolume32fr
oaire.citationIssue2fr
oaire.citationStartPage65fr
oaire.citationEndPage81fr


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