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dc.contributor.advisorSabourin, Paul
dc.contributor.advisorVézina, Martine
dc.contributor.authorRivet-Préfontaine, Louis
dc.date.accessioned2023-05-04T17:58:15Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2023-05-04T17:58:15Z
dc.date.issued2023-02-22
dc.date.submitted2022-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/27855
dc.subjectsociologie de la connaissancefr
dc.subjectsociologie de l’économiefr
dc.subjectethnographiefr
dc.subjectéconomie alimentairefr
dc.subjectinsécurité alimentairefr
dc.subjectpauvretéfr
dc.subjectPointe-Saint-Charlesfr
dc.subjectsociology of knowledgefr
dc.subjecteconomic sociologyfr
dc.subjectethnographyfr
dc.subjectfood economyfr
dc.subjectfood insecurityfr
dc.subjectpovertyfr
dc.subjectPoint-Saint-Charlesfr
dc.subject.otherSociology / Sociologie (UMI : 0626)fr
dc.titleDes alternatives pour nourrir la pointe : enquête ethnographique sur l’économie alimentaire sans but lucratif du quartier Pointe-Saint-Charlesfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSociologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelDoctorat / Doctoralfr
etd.degree.namePh. D.fr
dcterms.abstractDans son versant théorique, la présente thèse vise à questionner les modalités théoriques de développement d’une connaissance sociologique de la notion de « l’alternative économique ». La réponse à cette question est trouvée par une perspective de sociologie de la connaissance de l’économie. Dans cette perspective, toute économie est comprise comme composée d’une diversité de formes sociales de connaissances, articulées entre elles et ancrées dans les spécificités sociohistoriques d’un espace donné. Il s’agit en somme d’un travail de construction théorique de l’économie en tant que phénomène social produisant des connaissances tout en étant fondé par elles. Dans sa dimension empirique, ensuite, l’étude menée est à son tour orientée par cette perspective. Par une approche ethnographique, cette thèse étudie des initiatives alimentaires sans but lucratif du quartier montréalais de Pointe-Saint-Charles. L’enquête combine l’analyse de données issues de quelques centaines d’heures d’observation participante et non participante, une trentaine d’entretiens avec des responsables d’organismes, des bénévoles, des membres recourant à des services alimentaires des organismes et des gens résidant dans le quartier, en plus de diverses formes de documentation. L’analyse identifie des formes sociales de connaissance, leurs fondements sociaux, leur contribution à la construction des initiatives étudiées et les modalités selon lesquelles elles s’articulent entre elles. En somme, elle propose une description des différentes façons dont des initiatives alimentaires « alternatives » (sans but lucratif) s’établissent, se reproduisent et se transforment. Ce faisant, elle offre également matière à réfléchir quant aux possibilités de généralisation d’une forme alternative d’économie alimentaire. Si une telle étude peut a priori servir d’illustration et d’épreuve empirique des prémisses théoriques utilisées, elle tire également son intérêt heuristique et sa pertinence sociale de la documentation sociographique des réalités vécues, des pratiques des conceptions variées de l’économie en présence dans le milieu étudié.fr
dcterms.abstractIn its theoretical dimension, this thesis aims to question the theoretical implications of developing a sociological understanding of the notion of an « economic alternative ». The answer to this question is provided by a sociology of knowledge of the economy perspective. Such perspective enjoins to understand economic life as comprised of multiple social forms of knowledge, articulated with each other and anchored in a given space’s sociohistorical peculiarities. This is offers a theoretical framework for understanding the economy as a social phenomenon producing knowledge as much as it is constructed through such knowledge. The empirical dimension of the thesis is then guided by this perspective. With an ethnographic approach, it studies non-profit food organisations of the Montreal district of Point-Saint-Charles. The inquiry combines the analysis of data stemming from several hundreds of hours of participant and non-participant observation, around thirty interviews with organization personnel, volunteers, members using the organizations’ food services, district’s residents, as well as various types of documents. The analysis identifies multiple social forms of knowledge, their social foundations, the ways in which the partake in constructing the investigated organizations as well as the ways in which they articulate with each other. In short, it describes the different ways in which « alternative » (non-profit) food organizations emerge, persist and transform. In doing so, it also opens up to insights regarding future possibilities regarding the generalization of an alternative form of food economy. While this study may serve to illustrate and support the theoretical foundations being mobilized, it is also heuristically and socially relevant in that it provides sociographic documentation of lived experiences, practices and various understandings of the economy coexisting in the investigated milieu.fr
dcterms.languagefrafr


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