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dc.contributor.advisorBastien, Frédérick
dc.contributor.authorGaron-Grimard, Charles-Philippe
dc.date.accessioned2023-02-10T20:29:02Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2023-02-10T20:29:02Z
dc.date.issued2022-10-26
dc.date.submitted2022-07
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/27529
dc.subjectPositionsfr
dc.subjectDiscoursfr
dc.subjectAssociations étudiantesfr
dc.subjectLiberté d’expressionfr
dc.subjectLiberté académiquefr
dc.subjectUniversitéfr
dc.subjectQuébecfr
dc.subjectLibéralismefr
dc.subjectPostmodernismefr
dc.subjectDiscoursesfr
dc.subjectStudent unionfr
dc.subjectFree speechfr
dc.subjectAcademic freedomfr
dc.subjectUniversityfr
dc.subjectLiberalismfr
dc.subjectPostmodernismfr
dc.subject.otherPolitical Science / Sciences politiques (UMI : 0615)fr
dc.titlePositions et discours des associations étudiantes sur la liberté d’expression et la liberté académique au sein des universités québécoisesfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineScience politiquefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractDans le cadre de ce mémoire de maîtrise, nous nous pencherons sur les positions et discours des associations étudiantes sur la liberté d’expression et académique au sein des universités québécoises. Pour ce faire, nous avons procédé à onze entretiens semi-dirigés avec un(e) représentant(e) de l’exécutif des associations. Cinq de ces associations étudiantes proviennent d’universités montréalaises et six évoluent à l’extérieur de la métropole. Pour analyser les discours et les positions des associations étudiantes, nous avons construit une grille d’analyse fondée à partir de deux visions opposées des libertés universitaires : le libéralisme (Stephen Hicks) et le postmodernisme (Stanley Fish). Nous concluons que les associations étudiantes qui viennent de l’extérieur de Montréal sont légèrement plus disposées à adopter des positions et des discours libéraux que les associations montréalaises lorsqu’il s’agit de permettre l’utilisation de mots chargés, de refuser d’annuler ou de perturber des conférences sur des sujets controversés ou encore de faire de l’université un « espace protégé ». Néanmoins, la tendance générale que nous observons est que les associations étudiantes québécoises embrassent plus significativement le postmodernisme de Stanley Fish. Cela se traduit notamment par un rapport revisité vis-à-vis la liberté d’expression alors qu’elles estiment qu’il faut revoir la manière dont les enseignant(e)s présentent leur matière, plus particulièrement lorsqu’il s’agit de sujets difficiles.fr
dcterms.abstractThis master's thesis examines the positions and discourses of student union on free speech and academic freedom within Quebec universities. To do this, we conducted semi-structured interviews with a representative of the executive of eleven associations. Five of these student associations come from Montreal universities and six operate outside the city. To analyze the speeches and positions of student associations, we built an analysis grid based on two opposing visions of academic freedom: liberalism (Stephen Hicks) and postmodernism (Stanley Fish). We conclude that student union from outside Montreal are slightly more willing to adopt liberal positions and discourses than the association from Montreal when it comes to allowing the use of loaded words, refusing to cancel or to disrupt conferences on controversial subjects or to turn the university into a “protected space”. Nevertheless, the general trend we observe is that Quebec student associations are embracing Stanley Fish's postmodernism more significantly. This is expressed through a revisited relationship with freedom of expression, in particular in the context of expectations that professors revisit the way they present course content, more particularly when it comes to difficult topicsfr
dcterms.languagefrafr


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