Face à la crise : le communisme ; à propos de Fréderic Lordon et de son essai Figures du communisme
dc.contributor.author | Saint-Cyr, Arnaud | |
dc.date.accessioned | 2021-12-13T14:19:12Z | |
dc.date.available | NO_RESTRICTION | fr |
dc.date.available | 2021-12-13T14:19:12Z | |
dc.date.issued | 2021 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/25840 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | fr |
dc.rights | Ce document est mis à disposition selon les termes de la Licence Creative Commons Attribution - Pas d’utilisation commerciale - Partage dans les Mêmes Conditions 2.5 Canada / This work is licensed under a Creative Commons Attribution - NonCommercial - ShareAlike 2.5 Canada | |
dc.rights.uri | https://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/deed.fr | |
dc.title | Face à la crise : le communisme ; à propos de Fréderic Lordon et de son essai Figures du communisme | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | Dans son plus récent ouvrage, Figures du communisme, l’économiste et philosophe Fréderic Lordon s’attaque au problème brûlant de la double crise, économique et environnementale, actuelle. Lordon désigne le coupable : le capitalisme, qui détruit la planète par son exploitation sans vergogne de la nature, et qui détruit la vie par son exploitation des êtres humains. Face à ce système mortifère, une sortie du capitalisme s’impose. Sortir du capitalisme, certes, mais pour le remplacer par quoi ? Lordon nous présente ici son alternative. Contre le capitalisme destructeur de monde, Fréderic Lordon veut la figure du communisme. En s’inspirant des travaux de Bernard Friot, Lordon nous expose son idéal de société communiste : salaire à vie, garantie économique générale, abolition du marché et de la finance, réduction du travail et accès généralisé à la culture et à l’éducation. Il s’en prend également aux obstacles de la révolution communiste, qu’il s’agisse de la bourgeoisie, des grandes institutions financières, des banques, des multinationales, des médias, de l’État, de son armée et de sa police, mais aussi de ceux que Fréderic Lordon appelle « les scouts », les Piketty et consorts, qui espèrent sauver l’humanité et la planète tout en sauvant le capitalisme. Une critique sans concession d’une actualité brûlante. | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | fr |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.ReferenceFournieParDeposant | Face à la crise : le communisme ; à propos de Fréderic Lordon et de son essai Figures du communisme | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | fr |
oaire.citationTitle | Ithaque | fr |
oaire.citationIssue | 29 (automne 2021) | fr |
oaire.citationStartPage | 81 | fr |
oaire.citationEndPage | 102 | fr |