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Archives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec Minja Yang par Christina Cameron

dc.contributor.authorYang, Minja
dc.contributor.authorCameron, Christina
dc.date.accessioned2020-10-22T15:39:43Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2020-10-22T15:39:43Z
dc.date.issued2019-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/24017
dc.subjectPatrimoine mondialfr
dc.titleArchives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec Minja Yang par Christina Cameronfr
dc.typePrésentation hors congrès / Non-conference presentationfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagementfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Chaire de recherche du Canada en patrimoine bâtifr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Canada research chair on built heritageen
dcterms.abstractMinja Yang est née et a grandi à Tokyo. Elle est diplômée du baccalauréat en sociologie de l’Université de Georgetown et détient une maîtrise et un doctorat en politique de l’École des études orientales et africaines de l’Université de Londres. Elle a rejoint le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés en 1979, où elle a travaillé pour la protection des réfugiés d’Indochine et d’Afrique de l’Est. En 1989, elle entame sa carrière à l’UNESCO et œuvre à la protection et au développement de la région d’Angkor, au Cambodge, pendant près de cinq ans. Elle entre par la suite au Centre du patrimoine mondial en 1994 en tant que chef de l’unité Asie-Pacifique. Durant cette période, elle est également responsable de l’unité Documentation et Information, ainsi que du programme spécial pour les villes du patrimoine mondial, créé à son initiative. En 1999, elle devient Directrice adjointe du Centre, poste qu’elle occupera jusqu’en 2004. De 2005 à 2009, elle dirige le bureau de l’UNESCO à New Delhi. Tout au long de sa carrière, elle s’est dédiée au renforcement des capacités locales pour la gestion des ressources culturelles et l’encadrement du développement urbain dans une approche sensible au patrimoine. Depuis 2010, Minja Yang est présidente et professeure au Raymond Lemaire International Centre for Conservation (RLICC) de l’Université catholique de Louvain, en Belgique. Elle agit également à titre de consultante auprès de plusieurs organismes, dont l’Association des biens français du patrimoine mondial et l’Association des Centres culturels de rencontre. Elle siège par ailleurs sur le comité consultatif du Journal of Heritage Management. Parmi ses récentes publications, on peut lire « Culture in Moving the MDGs to the Post-2015 Development Agenda: Some Reflections on the Role of Living Heritage for Sustainable Development », paru en 2015 dans l’ouvrage Perceptions of Sustainability in Heritage Studies dirigé par Marie-Theres Albert. Les extraits audio suivants sont issus d’une entrevue menée avec Minja Yang par Christina Cameron en décembre 2019 à Paris. Elle y relate sa vaste expérience de la Convention du patrimoine mondial, et témoigne des défis de son opérationnalisation sur le terrain, particulièrement en milieu urbain. Elle appelle à davantage d’efforts vis-à-vis de la conservation et de l’interprétation des sites inscrits sur la Liste du patrimoine mondial, et suggère à cet égard d’établir davantage de partenariats avec les universités.fr
dcterms.abstractMinja Yang was born and raised in Tokyo. She holds a BA in sociology from Georgetown University and a Masters and Doctorate in political science from the School of Oriental and African Studies at the University of London. She joined the United Nations High Commissioner for Refugees in 1979, where she worked for the protection of refugees from Indochina and East Africa. In 1989, she began her career at UNESCO and worked for the protection and development of the Angkor region of Cambodia for almost five years. She then joined the World Heritage Centre in 1994 as head of the Asia-Pacific unit. During this period, she was also responsible for the Documentation and Information unit, as well as the special program for World Heritage cities, created on her initiative. In 1999, she became Deputy Director of the Centre, a post she held until 2004. From 2005 to 2009, she headed the UNESCO office in New Delhi. Throughout her career, she has dedicated herself to strengthening local capacities for the management of cultural resources and for a heritage-sensitive approach to urban development. Since 2010, Minja Yang has been president and professor at the Raymond Lemaire International Center for Conservation (RLICC) at the Catholic University of Louvain, Belgium. She also acts as a consultant to several organizations, including the Association of French World Heritage Properties and the Association of Cultural Meeting Centers. She also sits on the Journal of Heritage Management's advisory committee. Among her recent publications is an article “Culture in Moving the MDGs to the Post-2015 Development Agenda: Some Reflections on the Role of Living Heritage for Sustainable Development,” published in 2015 in Perceptions of Sustainability in Heritage Studies directed by Marie-Theres Albert. The following audio extracts are from an interview with Minja Yang by Christina Cameron in December 2019 in Paris. She describes her vast experience of the World Heritage Convention, and recounts the challenges of its operationalization on the ground, particularly in urban areas. She called for more efforts in the conservation and interpretation of the sites inscribed on the World Heritage List, and suggests in this regard more partnerships with universities.fr
dcterms.alternativeOral Archives of the World Heritage Convention : interview with Minja Yang by Christina Cameronfr
dcterms.languageengfr
dcterms.tableOfContents1. La Convention du patrimoine mondial ; 1a. Implication de Minja Yang dans le patrimoine mondial ; 1b. Programme de réformes à Cairns ; 1c. Politiques et décisions ayant influencé la mise en œuvre de la Convention ; 1d. Réussites et échecs de la Convention ; 2. Le Comité du patrimoine mondial ; 3. Les organisations consultatives : ICOMOS, UICN et ICCROM ; 4. L’engagement des États parties ; 5. Terrorisme et destruction intentionnelle du patrimoine mondial ; 6. L’implication de la société civile ; 7. La reconnaissance de sites de conflits récents


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