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dc.contributor.authorSullivan, Sharon
dc.contributor.authorCameron, Christina
dc.date.accessioned2019-05-07T15:58:36Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-05-07T15:58:36Z
dc.date.issued2013-10
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/21658
dc.titleArchives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec Sharon Sullivan par Christina Cameronfr
dc.typePrésentation hors congrès / Non-conference presentationfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagementfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Chaire de recherche du Canada en patrimoine bâtifr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Canada research chair on built heritageen
dcterms.abstractSharon Sullivan a étudié l’histoire et l’archéologie à l’Université de Nouvelle-Angleterre, en Australie, dont elle a obtenu une maîtrise en 1972. Elle a mené une longue carrière en gestion du patrimoine dans la fonction publique, à commencer par vingt ans au service du New South Wales National Parks and Wildlife Service, dont elle a été Directrice exécutive adjointe, avant d’être nommée à la tête de l’Australian Heritage Commission. À travers ces deux institutions, elle a contribué à établir un cadre légal et procédural pour la protection et la gestion du patrimoine en Australie, en insistant sur la reconnaissance des droits des peuples autochtones et sur l’importance de l’engagement des communautés. De 1996 à 2000, elle a fait partie de la délégation australienne auprès du Comité du patrimoine mondial. De nos jours, elle dirige la firme de consultants en patrimoine Sullivan Blazejowski and Associates. Elle a notamment travaillé avec la Banque mondiale, le World Monuments Fund, le Getty Conservation Institute et le gouvernement de Chine. Titulaire d’un doctorat honorifique de la James Cook University, Sharon Sullivan est également professeure adjointe à l’Université de Queensland et à l’Université de Nouvelle-Angleterre. Elle préside par ailleurs le Conseil d’administration de la Port Arthur Historic Site Management Authority depuis 2012. Membre de longue date du Comité exécutif d’ICOMOS Australie, Sharon Sullivan a reçu l’adhésion à vie à l’ICOMOS International en 2004, en plus d’être nommée Officier de l’ordre d’Australie (AO) la même année. En 2005, l’Australian Archeological Association lui a remis la médaille Rhys Jones pour les services insignes en archéologie. Auteure de plusieurs livres et articles, elle a notamment publié Looking After Heritage Places (Melbourne University Press, 1991) et, plus récemment, Archaeological Sites : Conservation and Management (Getty Conservation Institute, 2012). Les extraits audio suivants sont issus d’une entrevue menée avec Sharon Sullivan par Christina Cameron en octobre 2013 à Canberra. Sharon Sullivan y livre une vision originale, à la fois critique et encourageante, des objectifs et des mécanismes de la Convention du patrimoine mondial. Imprégnée de sa longue expérience en Australie et dans des sites tels qu’Angkor (Cambodge) et le Domaine du chef Roi Mata (Vanuatu), elle souligne à de nombreuses reprises l’important rôle des communautés et des valeurs locales dans la gestion du patrimoine.
dcterms.languageengfr
dcterms.tableOfContents1. La Convention du patrimoine mondial ; 1a. Implication et rôle de Sharon Sullivan dans le patrimoine mondial ; 1b. Objectifs clés de la Convention du patrimoine mondial ; 1c. La liste du patrimoine mondial ; 1d. Décisions ayant influencé la mise en œuvre de la Convention ; 1e. Réussites et échecs de la Convention ; 2. Le Comité du patrimoine mondial ; 3. Les organisations consultatives : la performance de l’UICN, l’ICOMOS et l’ICCROM ; 4. Le Secrétariat de l’UNESCO ; 5. Efforts de conservation des États parties


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