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dc.contributor.authorWijesuriya, Gamini
dc.contributor.authorCameron, Christina
dc.contributor.authorRössler, Mechtild
dc.date.accessioned2019-05-01T14:34:22Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-05-01T14:34:22Z
dc.date.issued2018
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/21635
dc.subjectPatrimoine mondial
dc.titleArchives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec Gamini Wijesuriya par Christina Cameron et Mechtild Rösslerfr
dc.typePrésentation hors congrès / Non-conference presentationfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté de l'aménagementfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Chaire de recherche du Canada en patrimoine bâtifr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Canada research chair on built heritageen
dcterms.abstractGamini Wijesuriya est un professionnel de la conservation originaire du Sri Lanka. Après avoir obtenu un baccalauréat et une maîtrise en architecture à l’Université de Moratuwa, il est devenu Directeur de la conservation au Département d’archéologie du Sri Lanka en 1983. Tout en maintenant sa pratique professionnelle, il s’est spécialisé en préservation historique (Université Carnegie Mellon) et en archéologie/gestion du patrimoine (Université de York) avant d’obtenir un doctorat à l’Université de Leiden en 1998. En 2000, il a quitté le Sri Lanka pour travailler en tant que scientifique régional principal au Département de conservation de Nouvelle-Zélande. Finalement, de 2004 à 2017, il a servi l’unité Sites de l’ICCROM, où il a développé des activités de renforcement des capacités liées à la conservation et à la gestion du patrimoine, y compris du patrimoine mondial. Parmi ses récentes publications, on peut lire «Towards the De-secularisation of Heritage», Built Heritage, no 2, vol.1, 2017, p.1-15, et «The New Heritage Studies and Education, Training, and Capacity-Building» dans W. Logan et. al. (éds.), A Companion to Heritage Studies, Malden, Wiley-Blackwell, 2016, p.557-573. Gamini Wijesuriya est impliqué au sein de la Convention du patrimoine mondial depuis les années 80, alors qu’il contribuait à l’élaboration de la Liste indicative et des premières propositions d’inscription du Sri Lanka sous l’égide de son mentor Roland Silva. Membre fondateur d’ICOMOS Sri Lanka, il a réalisé plusieurs missions d’évaluation et de suivi pour le compte de l’ICOMOS, notamment au Laos, en Inde et au Pakistan. Comme Coordinateur adjoint des activités du patrimoine mondial à l’ICCROM, il a participé comme délégué aux sessions du comité entre 2004 et 2007. Il a travaillé sur le processus de suivi de l’état de conservation (SOC) des sites du patrimoine mondial et a largement contribué à développer la « Stratégie du patrimoine mondial pour le renforcement des capacités ». À cet égard, il a notamment contribué à l’élaboration des manuels de référence du patrimoine mondial, ainsi qu’aux cours offerts sur le sujet par l’ICCROM. Depuis 2013, il dirige l’élaboration de programmes visant à relier la nature, la culture et les peuples en réunissant tous les acteurs institutionnels de la Convention et en animant un cours de l’ICCROM sur les approches de la conservation de la nature et de la culture centrées sur les personnes. Les extraits audio suivants sont issus d’une entrevue menée avec Gamini Wijesuriya par Christina Cameron et Mechtild Rössler en juin 2018 à Manama. Selon Wijesuriya, la Convention constitue une plateforme unique pour promouvoir et améliorer la conservation du patrimoine, notamment à travers l’engagement accru des communautés et des institutions nationales. Il encourage par ailleurs les organes consultatifs à collaborer davantage, en plus d’appeler à une réforme du processus de nomination pour contrer la politisation du Comité.fr
dcterms.languageengfr
dcterms.tableOfContents1. La Convention du patrimoine mondial ; 1a. Implication de Gamini Wijesuriya dans le patrimoine mondial ; 1b. Objectifs clés de la Convention du patrimoine mondial ; 1c. Le calendrier des réformes à Cairns ; 1d. Décisions et cas spécifiques ayant influencé la mise en œuvre de la Convention ; 1e. Réussites et échecs de la Convention ; 2. Le Comité du patrimoine mondial ; 3. Les organisations consultatives : performances de l’ICCROM, l’ICOMOS et l’UICN ; 4. Le Secrétariat de la Convention : le Centre du patrimoine mondial ; 5. Efforts de conservation des États parties ; 6. Destruction intentionnelle du patrimoine mondial ; 7. Le rôle de la société civile


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