Archives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec Jean-Louis Luxen par Christina Cameron
dc.contributor.author | Luxen, Jean-Louis | |
dc.contributor.author | Cameron, Christina | |
dc.date.accessioned | 2019-02-27T14:38:04Z | |
dc.date.available | NO_RESTRICTION | fr |
dc.date.available | 2019-02-27T14:38:04Z | |
dc.date.issued | 2009-03 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/21453 | |
dc.title | Archives orales de la Convention du patrimoine mondial : entrevue menée avec Jean-Louis Luxen par Christina Cameron | fr |
dc.type | Présentation hors congrès / Non-conference presentation | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté de l'aménagement | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Chaire de recherche du Canada en patrimoine bâti | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Canada research chair on built heritage | en |
dcterms.abstract | Jean-Louis Luxen Titulaire d’un doctorat en droit de l’Université catholique de Louvain, en Belgique, Jean-Louis Luxen a également complété des études en économie à l’Université de Stanford, en Californie. De 1973 à 2006, il a mené une éminente carrière comme Administrateur général au Ministère des affaires culturelles de Belgique. De 1989 à 1993, il a présidé le Comité du patrimoine culturel du Conseil de l’Europe, avant d’être élu Secrétaire général de l’ICOMOS de 1993 à 2002. À ce titre, il a supervisé la participation de l’organisation consultative aux sessions du Comité du patrimoine mondial et a participé à plusieurs réunions d’experts, notamment la réunion de Nara en 1994 et les réunions sur la dimension immatérielle du patrimoine mondial tenues au Zimbabwe en 2000 et en 2003. Jean-Louis Luxen est aujourd’hui président de CHEDI (Culture, Héritage et Développement – International) depuis 2002, en plus d’être trésorier de la Coalition internationale des sites de conscience depuis 2010. Professeur à l’Université de Louvain depuis plus de vingt ans, il a beaucoup écrit sur le patrimoine comme vecteur de développement économique et sur la dimension immatérielle du patrimoine bâti. Il a récemment publié une analyse portant sur la pertinence des chartes et des conventions («Is There a Need for a Charter on . . . the Wise Use of Charters and Conventions?», Change Over Time, 4/2, automne 2014, p.462-469). Les extraits audio sont issus d’une entrevue menée avec Jean-Louis Luxen par Christina Cameron en mars 2009 à Louvain au Belgique. Ces extraits traduisent bien la vision à la fois optimiste et critique qu’il nourrit à l’égard des objectifs et des impacts de la Convention. Elle permet d’éclaircir plusieurs enjeux qui se sont déployés dans la période de son implication, soit de 1993 à 2002 : la politisation du Comité, la création du Centre du patrimoine mondial ou encore la réunion de Nara. De par sa bonne connaissance de l’ICOMOS, Jean-Louis Luxen offre également d’intéressantes remarques sur le travail des organisations consultatives. | fr |
dcterms.language | fra | fr |
dcterms.tableOfContents | 1. La Convention du patrimoine mondial ; 1a. Implication et rôle de Jean-Louis Luxen au sein de la Convention du patrimoine mondial ; 1b. Objectifs de la Convention du patrimoine mondial ; 1c. La liste du patrimoine mondial ; 1d. Moments et décisions clés dans la mise en œuvre de la Convention ; 2. Le Comité du patrimoine mondial : équilibre entre professionnels et diplomates ; 3. Les organes consultatifs : ICOMOS, UICN et ICCROM ; 4. Le secrétariat de l’UNESCO ; 5. Le comportement des États parties, la solidarité internationale et le tourisme ; 6. Le document de Nara |
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