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dc.contributor.advisorDuhoux, Arnaud
dc.contributor.advisorLarue, Caroline
dc.contributor.authorThériault, Catherine
dc.date.accessioned2018-05-28T13:59:09Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2018-05-28T13:59:09Z
dc.date.issued2018-03-16
dc.date.submitted2017-09
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/20081
dc.subjectInfirmière de première lignefr
dc.subjectDépressionfr
dc.subjectSexefr
dc.subjectHommefr
dc.subjectFemmefr
dc.subjectBesoins non comblésfr
dc.subjectSanté mentalefr
dc.subjectPrimary-care nursefr
dc.subjectDepressionfr
dc.subjectSexfr
dc.subjectManfr
dc.subjectWomanfr
dc.subjectUnmet needsfr
dc.subjectMental health.fr
dc.subject.otherHealth Sciences - Nursing / Sciences de la santé - Soins infirmiers (UMI : 0569)fr
dc.titleL’utilisation des services infirmiers de première ligne pour des raisons de santé mentale par des personnes souffrant de dépression et l’impact sur les besoins non comblés en fonction du sexefr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSciences infirmièresfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractÀ ce jour, peu d’intérêt a été porté aux différences entre les hommes et les femmes en ce qui a trait aux besoins non comblés des personnes qui souffrent de dépression et qui consultent des infirmières de première ligne (IPL) pour des raisons de santé mentale. Dans ce contexte, l’objectif principal de cette étude est de déterminer si le fait d’avoir consulté une IPL pour des raisons de santé mentale par des personnes souffrant d’un épisode dépressif majeur (ÉDM) est associé à une diminution du taux des besoins non comblés en santé mentale (BNCSM) et si cette association est influencée par le sexe de la personne qui consulte. Cinq autres objectifs spécifiques ont été retenus en lien avec l’utilisation des services d’une IPL pour des raisons de santé mentale par les hommes et les femmes souffrant d’un ÉDM soit : décrire cette utilisation des services, décrire les types et les taux de BNCSM; décrire les raisons sous-jacentes aux BNCSM; étudier l’association entre l’utilisation des services d’une IPL et la présence BNCSM et finalement étudier cette même association séparément pour les hommes et pour les femmes souffrant d’un ÉDM. Une approche quantitative avec devis non expérimental de type transversal a été retenue pour répondre aux objectifs. Le présent mémoire de maîtrise est une analyse secondaire de données obtenues par le biais du projet Dialogue (2006-2010), une vaste enquête portant sur les facteurs organisationnels et contextuels influençant la qualité des services en santé mentale de première ligne (Réseau Qualaxia, 2008). Les calculs de taux prévalence et les analyses de régression logistique ont porté sur un échantillon composé de 915 personnes ayant vécu un épisode dépressif majeur au cours des 12 mois précédant l’entrevue au temps 1 (T1) du projet Dialogue. Les variables indépendantes ont été sélectionnées selon le modèle comportemental d’Andersen et de Newman (2005) L’analyse des données a permis dégager que seulement le cinquième des participants souffrant d’un ÉDM a consulté une IPL pour des raisons de santé mentale au cours des 12 mois précédant l’entrevue à T1 du projet Dialogue. Une grande proportion des participants ayant utilisé les services d’une IPL ont vu la même infirmière qu’une seule fois. Ceux qui ont consulté une IPL à plusieurs reprises ont majoritairement affirmé ne pas avoir vu la même. Ensuite, l’IPL a décidé de référer environ un patient sur deux à un autre professionnel de la santé (ex. : médecin de famille/omnipraticien, psychologue, psychiatre). Même si la différence n’est pas statistiquement significative, l’IPL a davantage référé les hommes (67,3 %) que les femmes (51 %). De plus, nos résultats viennent confirmer que les personnes souffrant d’un ÉDM et qui consultent une IPL pour des raisons de santé mentale présentent des taux élevés de BNCSM. Les quatre types de BNCSM les plus fréquents chez les deux sexes sont : psychothérapie ou counseling, aide pour les relations interpersonnelles, information sur les services disponibles et information sur les troubles mentaux, les traitements et la médication. Alors que, pour expliquer la présence de BNCSM, la principale raison rapportée par les participants des deux sexes est : le fait de ne pas savoir où chercher de l’aide. Finalement, quatre facteurs ont été associés de manière significative avec le fait d’avoir des BNCSM chez la femme : avoir entre 18 et 24 ans, être marié ou en union libre, un trouble anxieux concomitant à l’ÉDM, un score au HADS D à 11-13 ainsi que supérieur à 14. Toutefois, aucune variable confondante n’a été significativement associée avec le fait d’avoir des BNCSM chez l’homme. Il n’y a pas d’association entre le fait d’avoir consulté une IPL pour des raisons de santé mentale et le risque d’avoir rapporté des BNCSM chez les personnes vivant un ÉDM, et ce, peu importe le sexe. D’autres études sont nécessaires pour approfondir les connaissances sur les différences entre les sexes en ce qui concerne le fait d’avoir consulté une IPL pour des raisons de santé mentale et les BNCSM.fr
dcterms.abstractTo this day, little attention has been paid to differences between men and women with respect to the unmet needs of people with depression who consult primary-care nurses (PCN) for mental health reasons. In this context, the main objective of this study is to determine whether consulting a PCN for mental health reasons by people that were diagnosed with a major depressive episode (MDS) is associated with a decrease in the rate of unmet needs for mental health care (UNMHC) and whether this association is influenced by the sex of the person who consults. A cross-sectional non-experimental design was chosen in order to meet the objectives. Five other specific objectives were identified in relation to the consultation a PCN for mental health reasons by people that were diagnosed with a major MDS: describe the use of services, describe the types and rates UNMHC; describe the underlying reasons for the UNMHC; study the association between the use of the services of an PCN and the presence of UNMHC and finally study this same association separately for men and for women suffering from MDS. The purpose of the present Master's thesis is a secondary analysis of data obtained through the Dialogue Project (2006-2010), an extensive survey of organizational and contextual factors influencing the quality of primary mental health services (Qualaxia Network, 2008). The calculations of the prevalence rate and logistic regression analyzes were conducted on a sample of 915 people who experienced a major depressive episode in the 12 months preceding the interview T1 Dialogue project. The independent variables were selected according to the behavioral framework provided by Andersen and Newman (2005). The data analysis revealed that only one fifth of participants with an MDS consulted a PCN for mental health reasons in the 12 months preceding the interview T1 Dialogue project. The great majority of participants using PCN services only saw the same nurse once. Those who have consulted a PCN on several occasions have predominantly stated that they have not seen the same nurse at each visit. Subsequently, the PCN decided to refer approximately one in two patients to another health professionals (ex: family doctor, psychologist and psychiatrist). Although the difference is not considered statistically significant, PCN referred more men (67.3%) than women (51%) to other professionals. In addition, our findings confirm that individuals with MDS who consult a PCN for mental health reasons have high levels of UNMHC. The four most common types of UNMHC in both sexes are: psychotherapy or counseling, interpersonal skills assistance, information on available services, and information on mental disorders, treatment and medication. To explain the presence of UNMHC, the main reason reported by participants of both sexes is: not knowing where to seek help. Finally, four factors were significantly associated with having UNMHC in women: aged 18-24, married or common-law partnership, anxiety disorder associated with MDS, HADS-D scores between 11 and 13 or greater than 14. However, no confounding variables were significantly associated with having UNMHC in men. There is no association between having seen a PCN for mental health reasons and the risk of reporting UNMHC among people with MDS, regardless of the sex. Further studies are needed to increase knowledge about sex differences in regard of the consultation PCN for mental health reasons and UNMHC.fr
dcterms.languagefrafr


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