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dc.contributor.advisorLamarre, Patricia
dc.contributor.authorLevasseur, Catherine
dc.date.accessioned2018-05-17T19:30:10Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2018-05-17T19:30:10Z
dc.date.issued2018-03-21
dc.date.submitted2017-01
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/19997
dc.subjectFrancisationfr
dc.subjectDiscours identitairesfr
dc.subjectPlurilinguismefr
dc.subjectReprésentations linguistiquesfr
dc.subjectCommunauté imaginéefr
dc.subjectFrancophonie canadiennefr
dc.subjectEnfance et jeunessefr
dc.subjectSociolinguistiquefr
dc.subjectEthnographiefr
dc.subjectFrancizationfr
dc.subjectMultilingualismfr
dc.subjectLinguistic representationsfr
dc.subjectNew speakersfr
dc.subjectIdentity discoursesfr
dc.subjectImagined communityfr
dc.subjectFrench canadian minorityfr
dc.subjectChild and youth studiesfr
dc.subjectSociolinguisticfr
dc.subjectEthnographyfr
dc.subject.otherSocial Sciences - Canadian Studies / Sciences sociales - Études canadiennes (UMI : 0385)fr
dc.title«Moi j’suis pas francophone!» : discours, pratiques langagières et représentations identitaires d’élèves de francisation à Vancouverfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSciences humaines appliquéesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelDoctorat / Doctoralfr
etd.degree.namePh. D.fr
dcterms.abstractEn milieu francophone minoritaire canadien, l’école est souvent considérée comme le moyen privilégié pour combattre l’assimilation linguistique. En plus d’instruire les élèves, elle a pour mission de les socialiser en tant que membres de la communauté francophone. Or, cette volonté de protéger et de reproduire une communauté francophone notamment par la défense d’un espace scolaire unilingue n’est pas sans soulever des questions de légitimité et d’authenticité : qui est considéré francophone et à qui s’adresse l’école francophone? Ancrée dans le champ de la sociolinguistique critique, cette thèse présente les résultats d’une recherche ethnographique réalisée auprès d’élèves de 6 à 10 ans, de parents, d’enseignants et d’autres acteurs du milieu scolaire francophone de la région de Vancouver. Cette enquête s’est particulièrement intéressée aux discours et aux représentations identitaires d’élèves plurilingues qui ont reçu des services de francisation afin de mieux comprendre ce que veut dire pour eux « être francophone ». La thèse démontrera que les élèves de francisation, en tant que new speakers, sont au cœur d’importants enjeux en contexte éducatif francophone minoritaire. En effet, leurs pratiques plurilingues et leurs positionnements identitaires poussent les différents acteurs de l’éducation à remettre en question les critères de légitimité et d’authenticité des frontières du groupe et les processus d’inclusion et d’exclusion qui en découlent. À la lumière des discours, des représentations et des pratiques langagières des élèves de francisation, c’est la définition même de la communauté francophone imaginée encore basée sur une conception traditionnelle et stricte de la francophonie canadienne qui doit être repensée.fr
dcterms.abstractIn a Canadian French minority context, French schools are expected to function as unilingual spaces, which can counter or slow down the linguistic assimilation process. Schools have as a mission not only to instruct and educate children, but also to socialize them as a new generation of French speakers. Schools are expected to contribute to protecting, supporting, promoting, and reproducing the “francophone identity” and the francophone local community. This raises a number of questions about authenticity and legitimacy such as: Who is or can be considered as legitimate Francophone? This thesis is inspired by the critical sociolinguistic field and will present ethnographic data about discourses and representations of identity of children (6 to 10 years old), teachers, parents and other stakeholders in the French Education system in Vancouver area. The study focus is set mostly on the discourses, language practices and representations of identity of students who followed “francization” courses (French as second language) in an elementary French school. It aims at understanding better what it means for these students to “be Francophone”. Our findings show that “francization” students, as new speakers of French, are challenging the traditional definition of Francophone in a Canadian minority context. By their multilingual practices, discourses and various identity positionings, they force educators and parents to question the inclusion and exclusion processes based on the notions of legitimacy and authenticity related to the francophone community, as an imagined community.fr
dcterms.descriptionJe remercie le Fonds de recherche du Québec, Société et culture (FRQSC) et le Centre canadien de recherche sur les francophonies en milieu minoritaire (CRFM) de l’Institut français de l’Université de Régina pour le soutien financier.fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.ORCIDAuteurThese0000-0002-2867-1960fr


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