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dc.contributor.advisorLapointe, Martine-Emmanuelle
dc.contributor.authorRobidoux-Daigneault, Camille
dc.date.accessioned2016-11-09T14:32:33Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2016-11-09T14:32:33Z
dc.date.issued2016-09-28
dc.date.submitted2015-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/16125
dc.subjectFrance Daiglefr
dc.subjectLittérature acadiennefr
dc.subjectChiacfr
dc.subjectAcadian literaturefr
dc.subjectHétérolinguismefr
dc.subjectHeterolinguismfr
dc.subject.otherLiterature - Canadian / Littérature - Canadienne (UMI : 0355)fr
dc.titleDe Pas pire à Pour sûr : faits et effets des langues chez France Daiglefr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineLittératures de langue françaisefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM.A.fr
dcterms.abstractLa littérature de l’Acadie du Sud-Est émerge dans un contexte lui-même déjà hétérolingue (Grutman). Le chiac porte d’ailleurs les traces de cette cohabitation linguistique puisque son caractère hybride traduit la forte interaction entre les communautés de la région. Or, son usage suscite-t-il une réflexion inquiète sur la situation diglossique du français acadien ou est-il strictement créatif ? Le présent mémoire porte sur le rapport à la langue dans les romans récents de France Daigle, soit Pas pire (1998), Un fin passage (2001), Petites difficultés d’existence (2002) et Pour sûr (2011), en mettant au jour les particularités sociolinguistiques et la façon dont le texte « parle la langue » (Gauvin). Bien qu’il mette à distance les présupposés idéologiques, l’œuvre de Daigle demeure extrêmement sensible au contexte socioculturel d’où il émerge. Ainsi, si l’œuvre s’affranchit d’un réalisme sociolinguistique, c’est afin de créer une « fiction linguistique » (Baetens Beardsmore) qui reconfigure l’imaginaire social de Moncton tout en intégrant certaines inquiétudes bien « réelles ». Qui plus est, la prise en compte de la polyphonie structurelle de l’œuvre permet de s’affranchir de la lecture ethnographique. fr
dcterms.abstractThe literature of Southeast Acadie emerges in a context that is already heterolingual (Grutman). Chiac, the local vernacular, bears traces of this linguistic coexistence since its hybrid character reflects the strong interaction between the region’s communities. However, does its use arouses an anxious reflection on Moncton’s diglossic context or is it strictly creative? This thesis focuses on the relationship to language in the recent novels of France Daigle, Pas pire (1998), Un fin passage (2001), Petites difficultés d’existence (2002) and Pour sûr (2011), by uncovering sociolinguistic features and the way the text "speaks the language" (Gauvin). Although it puts away ideologies, Daigle's work remains highly sensitive to the cultural context from which it emerges. Thus, if the work is freed from a sociolinguistic realism, it is to create a "linguistic fiction" (Baetens Beardsmore) which reconfigures the social imaginary of Moncton while incorporating some "real" concerns. Moreover, taking into account the structural polyphony of the work overcomes the temptation of ethnographic reading.fr
dcterms.languagefrafr


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