La dimension juridique des relations entre Samuel de Champlain et les Autochtones de la Nouvelle-France
dc.contributor.author | Morin, Michel | |
dc.date.accessioned | 2007-07-16T18:03:39Z | |
dc.date.available | 2007-07-16T18:03:39Z | |
dc.date.issued | 2004 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/1404 | |
dc.format.extent | 412425 bytes | |
dc.format.mimetype | application/pdf | |
dc.publisher | Les Éditions Thémis | en |
dc.title | La dimension juridique des relations entre Samuel de Champlain et les Autochtones de la Nouvelle-France | en |
dc.type | Article | en |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté de droit | fr |
dcterms.description | Contrairement à ce qui s’est produit dans les colonies espagnoles, en Nouvelle-Fance, les Français ont privilégié le maintien de relations pacifiques avec les peuples autochtones. Même si les représentants de la couronne sont autorisés à les assujettir par la force, très rapidement, le roi exige le respect des traités conclus avec eux. Ces alliances constituent d’ailleurs la première étape d’un processus de sédentarisation et de conversion qui doit, dans l’esprit des autorités, culminer par l’assujettissement des Autochtones à la couronne. Pour l’heure, au début du XVIIe siècle, ils sont considérés comme des alliés vivant selon leurs propres coutumes. C’est pourquoi Champlain doit renoncer à appliquer le droit français dans les cas où un Français a été tué par un Autochtone, alors qu’il n’envisage même pas d’imposer ces règles quand les protagonistes sont tous autochtones. | en |
dcterms.description | [À l'origine dans / Was originally part of : Fac. Droit - Coll. facultaire - Généralités] | fr |
dcterms.language | fra | en |
UdeM.VersionRioxx | Version acceptée / Accepted Manuscript | |
oaire.citationTitle | Revue juridique Thémis | |
oaire.citationVolume | 38 | |
oaire.citationIssue | 2 | |
oaire.citationStartPage | 389 | |
oaire.citationEndPage | 426 |
Files in this item
This item appears in the following Collection(s)
This document disseminated on Papyrus is the exclusive property of the copyright holders and is protected by the Copyright Act (R.S.C. 1985, c. C-42). It may be used for fair dealing and non-commercial purposes, for private study or research, criticism and review as provided by law. For any other use, written authorization from the copyright holders is required.