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dc.contributor.authorLarrue, Jean-Marc
dc.date.accessioned2016-02-19T15:10:09Z
dc.date.available2016-02-19T15:10:09Z
dc.date.issued2011
dc.identifier.urihttps://journals.lib.unb.ca/index.php/TRIC/article/view/19460/21021
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/13096
dc.publisherCanadian Association for Theatre Research / Association canadienne de la recherche théâtrale (CATR / ACRT)fr
dc.subjectConjonctures médiatricesfr
dc.subjectPratiques intermédialesfr
dc.subjectProduction des contenusfr
dc.subjectThéorie des médiasfr
dc.subjectThéâtralitéfr
dc.subjectThéâtrefr
dc.subjectNumériquefr
dc.subjectTechnologiefr
dc.subjectMédiafr
dc.subjectMédiasfr
dc.titleThéâtralité, médialité et sociomédialité : fondements et enjeux de l'intermédialité théâtralefr
dc.typeArticlefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département des littératures de langue françaisefr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Chaire de recherche du Canada sur les écritures numériquesfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Canada Research Chair on Digital Textualitiesen
dcterms.abstractNée de l’avènement des technologies numériques, l’intermédialité recouvre des phénomènes aussi vieux que les plus vieux médias. Qu’on considère le théâtre comme un média ou qu’on lui reconnaisse des propriétés médiatiques, l’approche intermédiale renouvelle considérablement la compréhension que nous avons de sa nature et de sa conjoncture : ses rapports avec d’autres médias et d’autres pratiques, en particulier ceux et celles nés des technologies électriques puis numériques. La dynamique intermédiale repose autant sur le principe de remédiation tel que l’ont défini Bolter et Grusin que sur celui de reste et résidu—les médias rési-duels d’Acland. Mais un média peut aussi bloquer la logique remédiante quand des agents considèrent que cette remédiation va à l’encontre des intérêts ou de l’identité du média. C’est ce que nous appelons la résistance médiatique dont l’histoire récente du théâtre offre de nombreux exemples. Parmi eux, celui de la très lente pénétration des technologies de reproduction sonore sur les scènes et dans les processus de création. L’article suggère différentes hypothèses qui expliqueraient à la fois les causes, les modalités et les effets de cette résistance au théâtre au cours du Long Siècle (1880 à aujourd’hui), c’est-à-dire depuis la révolution électrique qui a vu, en même temps, naître la lampe à incandescence et le micro. Si la première a envahi toutes les scènes du théâtre occidental en moins de vingt ans, le second a été tenu à l’écart de la représentation pendant trois quarts de siècle.fr
dcterms.abstractAlbeit the child of digital technology, intermediality is a phenomenon that embraces phenomena as old as the oldest cultural media. Regardless of whether theatre is recognized as a medium or just a discipline with mediatic properties, the intermedial perspective contributes much fresh insight to our understanding of theatre’s nature and situation in terms of its relationship to other media and practices, particularly those generated by electricity or digital technology. The dynamics of intermediality reflect not only the process of “remediation,” as defined by Bolter and Grusin, but also the kind of remains and residue represented by what Acland called “residual media.” However, one medium can also block the remediating process when the people involved with the affected medium feel that such remediation harms their medium’s interests or identity. This response is what we call “mediatic resistance” — and theatre’s recent history is replete with examples of such reactions. One such example is the extremely slow adoption of sound reproduction technology on theatre stages and in the discipline’s creative processes. This article offers various hypotheses concerning the causes, forms and effects of theatre’s resistance to new media throughout the “Long Century” (1880 – present), i.e., since the electrical revolution successively brought us among other things incandescent lighting and microphones. While the former was universally adopted by Western theatre in the brief space of under 20 years, the latter was held at bay for some 75!fr
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1196-1198
dcterms.languagefrafr
UdeM.VersionRioxxVersion acceptée / Accepted Manuscript
oaire.citationTitleTheatre research in Canada = Recherches théâtrales au Canada
oaire.citationVolume32
oaire.citationIssue2
oaire.citationStartPage174
oaire.citationEndPage206


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