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dc.contributor.advisorLemay, Guy
dc.contributor.authorBrochu-Lafontaine, Virginie
dc.date.accessioned2012-09-21T19:44:39Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2012-09-21T19:44:39Z
dc.date.issued2012-09-04
dc.date.submitted2012-04
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/8574
dc.subjectréovirusen
dc.subjectgénétique inverseen
dc.subjectmucineen
dc.subjecttagen
dc.subjectreovirusen
dc.subjectreverse geneticsen
dc.subjectmucinen
dc.subjecttaggingen
dc.subject.otherBiology - Virology / Biologie - Virologie (UMI : 0720)en
dc.titleÉtude de la protéine sigma 1 de réovirus par génétique inverse
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineMicrobiologie et immunologieen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sen
etd.degree.nameM. Sc.en
dcterms.abstractRéovirus, connu sous le nom REOLYSIN®, est présentement à l'étude à titre d'agent oncolytique. Or, la spécificité du virus pour les cellules cancéreuses pourrait être optimisée par une modification au niveau de la protéine d'attachement σ1. La présente étude vise à démontrer qu'une telle amélioration est possible par l'utilisation de la méthode nouvellement décrite de génétique inverse. Par cette technique, il est possible d'ajouter un polypeptide d'une longueur de quarante acides aminés à l'extrémité C-terminale de σ1. Il est aussi possible d'engendrer des virus mutés en leur site d'activité mucinolytique. Les virus nouvellement créés démontrent une efficacité de réplication diminuée, mais demeurent infectieux. Contrairement aux méthodes traditionnellement utilisées avec réovirus, la méthode de génétique inverse permet de conserver les mutations engendrées, par substitution ou addition, au cours des cycles de réplication. Une telle étude démontre qu'il serait possible de modifier le tropisme de réovirus.en
dcterms.abstractReovirus, also known under the tradename REOLYSIN®, is currently under clinical trial as an oncolytic agent. The specificity of the virus for transformed (cancerous) cells could be improved by modifications of the σ1 attachment protein. This study presents two ways to achieve this improvement by using a newly developed method of reverse genetics for double-stranded RNA viruses. As a proof of concept, we engineered the addition of an exogenous polypeptide of forty amino-acids to the C-terminal end of σ1. Subsequently, we created viruses with compromised mucinolytic activities by introducing amino-acids substitutions in the appropriate genetic sites. A decreased replicative efficacy was observed in all experimentally generated viruses, despite maintaining their infectious capacity. Reverse genetics allows the generation of viruses that retain their mutations throughout successive replicative cycles, which was impossible with traditionnal techniques. This project demonstrates the feasibility of tropism modification by using the reverse genetics method.en
dcterms.languagefraen


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