Show item record

dc.contributor.authorde Briey, Laurent
dc.date.accessioned2010-11-25T20:01:33Z
dc.date.available2010-11-25T20:01:33Z
dc.date.issued2010-11-01
dc.identifier.urihttp://www.creum.umontreal.ca/IMG/pdf_01_de_Briey.pdf
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/4335
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/legalcode
dc.subjectéthiqueen
dc.subjectphilosophie politiqueen
dc.subjectguerreen
dc.subjectviolence politiqueen
dc.titleL’antinomie de l’action : Weil et Camusen
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractLes pensées de l’action de Weil et de Camus se heurtent à une même antinomie : la volonté d’agir raisonnablement implique à la fois de renoncer à toute action, car une action ne peut être efficace que si elle est potentiellement violente, et d’agir, car s’abstenir de toute action signifie accepter la violence présente. L’agent doit dès lors justifier la violence qu’il met en œuvre. En conséquence, cet article confronte la manière dont ces deux auteurs s’efforcent de résoudre cette difficulté. Une telle confrontation nous permet, d’une part, de trouver chez Weil les fondements philosophiques qui manquent à la pensée camusienne. D’autre part, la lecture de Camus nous prémunit contre une interprétation erronée de la justification weilienne de moyens violents par une fin raisonnable.en
dcterms.abstractThe theories of action of Weil and Camus come up against the same antinomy: the will to act reasonably both implies renouncing to undertake an act –because an action is efficient only if it is potentially violent– and acting –because not acting would be tantamount to accepting the present violence. This is why the agent must justify the violence of his action. Consequently, this paper confronts the way that these two authors try to resolve this difficulty. Such a comparison makes it possible, on one hand, to find in Weil philosophical foundations lacking in Camus’ thinking. On the other hand, Camus’ work allows us not to err by misunderstanding how Weil justifies violent means by a sensible end.en
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1718-9977
dcterms.languagefraen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleLes ateliers de l'éthique = The ethics forum
oaire.citationVolume5
oaire.citationIssue2


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show item record

http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/legalcode
Usage rights : http://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/legalcode