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dc.contributor.advisorCrépeau, Robert
dc.contributor.authorProulx, Raphaëlle
dc.date.accessioned2010-09-13T15:31:12Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONen
dc.date.available2010-09-13T15:31:12Z
dc.date.issued2010-03-04
dc.date.submitted2010-02
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/4074
dc.subjectAnthropologieen
dc.subjectEthnologieen
dc.subjectMondialisationen
dc.subjectHomogénéisationen
dc.subjectAméricanisationen
dc.subjectGraffiteuren
dc.subjectGraffeuren
dc.subjectQuébecen
dc.subjectCanadaen
dc.subjectBrésilen
dc.subjectAnthropologyen
dc.subjectEthnologyen
dc.subjectGlobalizationen
dc.subjectHomogenizationen
dc.subjectAmericanizationen
dc.subjectGraffiti artisten
dc.subjectGrafferen
dc.subjectQuebecen
dc.subjectCanadaen
dc.subjectBrazilen
dc.subject.otherAnthropology - Cultural / Anthropologie - Culturelle (UMI : 0326)en
dc.titleVariations colorées d’une pratique mondialisée : l’appropriation culturelle du graffiti hip-hop à Montréal et à São Pauloen
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineAnthropologieen
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelDoctorat / Doctoralen
etd.degree.namePh. D.en
dcterms.abstractQu’il s’agisse d’une signature monochrome ("tag"), de lettres rondes à deux couleurs ("throw-up") ou d’un enchevêtrement calligraphique multicolore ("piece"), les formes caractéristiques du graffiti hip-hop font aujourd’hui partie du paysage urbain des grandes villes du monde. Né aux États-Unis dans les années 1960 et diffusé à l’extérieur des frontières américaines dans les années 1980, le graffiti hip-hop peut être perçu comme un exemple à la fois de l’américanisation et de l’homogénéisation des pratiques culturelles des jeunes à travers le monde. À partir d'une comparaison entre des graffiteurs francophones de Montréal et des graffiteurs lusophones de São Paulo, cette thèse décrit le processus d'appropriation d'un mouvement culturel d’origine américaine et montre les similitudes et les différences retrouvées au niveau local de cette forme d'expression mondialisée. L’étude de l’appropriation culturelle proposée dans cette thèse se compose de deux niveaux d’analyse. Le premier – qualifié de micro – touche le domaine personnel et se penche sur le processus de production de graffitis de style hip-hop (type de graffitis d’origine new-yorkaise basé sur l’écriture de pseudonymes). Ce niveau d’analyse me permet de démontrer comment les mécanismes de l’imitation et de la transformation se mélangent et renvoient aux processus de l’apprentissage et de l’inventivité individuels. Pour l’analyse du second niveau – qualifié de macro –, je tiens compte de l’ensemble des forces qui, au plan de la collectivité, forge l’appropriation. Ceci me permet de tracer des liens causaux entre les particularités locales du graffiti hip-hop et certains paramètres relevant du politique, de l’économique, de l’histoire et du culturel.en
dcterms.abstractI propose to examine the local appropriation of hip-hop graffiti, a transnational youth expression, that originated in the East-Coast of the United States, through a micro and a macro perspective applied to a multi-site ethnography of hip-hop graffiti in two cities of the Americas, Montreal (Canada) and São Paulo (Brazil), among, respectively, French and Portuguese speaking graffiti artists. The micro level analysis will focus on the creative process by which graffiti artists combine imitation and transformation; and the macro perspective will bring into relief the complex ensemble of dimensions which influences the appropriation process in a given locality. Based on this double-leveled analysis, I shall 1) describe the similarities and differences between the hip-hop graffiti scene in Montreal and São Paulo; 2) identify key elements of the process of cultural appropriation; and 3) reexamine the notion that globalization results in cultural homogenization.en
dcterms.languagefraen


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