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dc.contributor.authorDiaz Piedregal, Virginie
dc.date.accessioned2010-02-16T13:50:13Z
dc.date.available2010-02-16T13:50:13Z
dc.date.issued2009
dc.identifier.urihttp://ethique-economique.net/
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/3426
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.subjectphilosophyen
dc.subjectethicsen
dc.subjecteconomicsen
dc.subjectFair tradeen
dc.subjectcertificationen
dc.subjectprinciples of justiceen
dc.subjectElsteren
dc.subjectCommerce équitableen
dc.subjectprincipes de justiceen
dc.titleJust Certificationen
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractThrough the justice principles –equality, time, status, need, efficiency and worth– developed by Jon Elster, we show in this article how fair trade certification for producers is legitimatised by stakeholders. Based on a field investigation with coffee growers in Peru, Ecuador and Bolivia and with fair trade organisations in the North (Max Havelaar/FLO, Andines and Artisans du Monde), the analysis firstly reviews just certification according to the impersonal criteria of “mechanical” justice, such as equality, time and efficiency. The second section looks at more individualised criteria such as the status, need and worth of the beneficiaries. Finally, it determines in what way fair trade is really a mixed bag, one which calls upon different principles of justice to justify what it is out to accomplish. The main result of the analysis is that fair certification granted to producer organisations is not being distributed according to a unique system of justice based on just one criterion. On the contrary, fair trade is a complex and hybrid bag that uses different components from each distribution procedure.en
dcterms.abstractÀ travers les principes de justice – égalité, temps, statut, besoin, efficience et mérite – développés par Jon Elster, cet article montre de quelle manière la certification du commerce équitable pour les producteurs est justifiée par les acteurs. Basée sur une étude de terrain auprès de caféiculteurs travaillant au Pérou, en Équateur et en Bolivie, et auprès d’organisations du commerce équitable au Nord (Max Havelaar/FLO, Andines, Artisans du Monde), l’analyse traite en premier lieu la juste certification selon les critères impersonnels de la justice « mécanisée », comme l’égalité, le temps et l’efficacité. La seconde partie porte sur des critères plus individualisés comme le statut, le besoin et le mérite des bénéficiaires. Enfin, il s’agit de voir en quoi le commerce équitable représente une configuration mixte, faisant appel à différents principes de justice pour justifier son action. Il découle de l’analyse que la certification équitable octroyée aux organisations de producteurs n’est pas distribuée selon un système de justice unique, relevant d’un seul critère. Au contraire, le commerce équitable fait appel à une configuration complexe, hybride, utilisant différents éléments de chaque modalité de distribution.en
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1639-1306
dcterms.languageengen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleÉthique et économique = Ethics and economics
oaire.citationVolume6
oaire.citationIssue2


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