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dc.contributor.authorGuillemin, Roger
dc.date.accessioned2024-08-05T13:43:42Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2024-08-05T13:43:42Z
dc.date.issued1953-05
dc.date.submitted1952-11
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/33685
dc.subjectPression artériellefr
dc.subjectHormones corticosurrénalesfr
dc.subject.otherSurgery / Chirurgie (UMI : 0576)fr
dc.titleHypertension expérimentale par la désoxycorticostéronefr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineMédecine et chirurgie expérimentalesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréal
etd.degree.levelDoctorat / Doctoralfr
etd.degree.namePh. D.fr
dcterms.abstractAprès avoir présenté une revue générale et critique de la littérature sur l’hypertension et les lésions anatomo-pathologiques produites par la désoxycorticostérone, nous rapportons les résultats des expériences qui forment notre contribution personnelle à l'ensemble des travaux cités dans cette thèse. Ces résultats et notre interprétation du mode de l’action hypertensive de la désoxycorticostérone peuvent se résumer ainsi : l’hypertension à la désoxycorticostérone s'établit en trois phases successives d'étiologie et de traduction différentes : Une première phase en rapport avec la dynamique des liquides circulants, qui ne s’accompagne d'aucune lésion du système réno-cardiovasculaire et que nous avons appelée phase mécanique. Une seconde phase où l'on ne peut plus incriminer ce facteur et ou la pression étant déjà élevée, on ne trouve cependant aucune lésion vasculaire, pas plus au niveau du glomériile rénal qu'ailleurs. Pendant cette seconde période, le parenchyme rénal d'apparence morphologiquement nornormale est incapable d' inactiver par rapport aux conditions normales les substances hypertensives du type de I’angiotonine. C’est la période que nous avons appelée enzymatique. Une troisième phase ou les lésions d’angio-néphrosclérose classique accompagnent l'hypertension artérielle, la périartérite noueuse, la myocardite, les hémorragies cérébrales et que nous avons appelée période histologique. Nous expliquons d'autre part pourquoi, à notre point de vue, l'hypertension, la néphrosclérose et l’hyalinose ne sont pas des effets toxiques de la désoxycorticostérone, mais des effets toxiques dus à l'ion sodium, la désoxycorticostérone ne jouant qu'un rôle favorisant dans l'apparition de ces lésions et qui n'est que l'exagération de ses effets physiologiques sur le métabolisme tissulaire des électrolytes. Nous avons renforcé cette hypothèse en montrant qu’en présence de doses considérables de désoxycorticostérone et de sodium, l 'administration d'une substance empêchant l’action du minéralo-corticoïde sur le sodium au niveau de la cellule inhibe les modifications pathologiques normalement ainsi produites. Nous discutons finalement l'intérêt possible de ces résultats dans l'étiologie de l'hypertension essentielle et du traitement des hypertendus.fr
dcterms.descriptionThèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.fr
dcterms.languagefrafr


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