Show item record

dc.contributor.advisorDumont, Marie
dc.contributor.authorBenhaberou, Dalila
dc.date.accessioned2024-07-16T16:54:48Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2024-07-16T16:54:48Z
dc.date.issued1999-01-14
dc.date.submitted1998-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/33607
dc.subjectTravail de nuitfr
dc.subjectTroubles du sommeilfr
dc.subjectRythmes circadiensfr
dc.subjectMélatoninefr
dc.subjectQualité du sommeilfr
dc.subjectDésynchronisationfr
dc.subject.otherHealth sciences / Sciences de la santé (UMI : 0566)fr
dc.titleÉvaluation du rythme circadien de la mélatonine chez le personnel infirmier de nuit souffrant de troubles du sommeilfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineSciences cliniquesfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréal
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractLe travail de nuit se développe de plus en plus dans nos sociétés. Beaucoup de travailleurs se plaignent d'un tel horaire, particulièrement à cause des troubles du sommeil. Une des principales hypothèses expliquant ces troubles repose sur l'adaptation des rythmes circadiens. Les travailleurs de nuit doivent travailler à un moment où leur horloge biologique les prépare au sommeil et dormir à un moment où leur organisme est en phase d'activation. Il semble que l'horloge biologique s'adapte peu à cette inversion du cycle éveil-sommeil, mais peu de recherches ont mesuré l'activité circadienne chez de véritables travailleurs de nuit. Trente travailleurs du secteur de la santé ont complété le protocole de recherche qui consistait en 14 jours d'agenda de sommeil et 24 heures d'évaluation du rythme circadien de la mélatonine en laboratoire. Les sujets étaient répartis en deux groupes : un groupe de 15 personnes rapportant peu ou pas de troubles du sommeil et un groupe de 15 personnes signalant des troubles plus sévères. Les résultats ont montré qu'une plus grande proportion de mélatonine sécrétée durant le jour était associée à une meilleure qualité de sommeil diurne. Toutefois, il semble que le moment de la sécrétion de la mélatonine n'est pas une condition suffisante à une bonne qualité de sommeil diurne, puisque la moitié du groupe des personnes rapportant peu de problèmes présentait une sécrétion essentiellement nocturne de la mélatonine. Ces résultats nous amènent à penser que certains travailleurs sont plus tolérants que d'autres à une désynchronisation entre leurs rythmes circadiens et leur sommeil. Puisque les deux groupes avaient un profil similaire pour leurs caractéristiques individuelles et professionnelles, il serait peut-être pertinent d'explorer la source de cette tolérance à l'inversion du cycle éveil-sommeil imposé par le travail de nuit.fr
dcterms.descriptionMémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.fr
dcterms.languagefrafr


Files in this item

PDF

This item appears in the following Collection(s)

Show item record

This document disseminated on Papyrus is the exclusive property of the copyright holders and is protected by the Copyright Act (R.S.C. 1985, c. C-42). It may be used for fair dealing and non-commercial purposes, for private study or research, criticism and review as provided by law. For any other use, written authorization from the copyright holders is required.