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dc.contributor.authorDe Decker, Pascal
dc.contributor.authorPannecoucke, Isabelle
dc.date.accessioned2010-01-22T21:23:02Z
dc.date.available2010-01-22T21:23:02Z
dc.date.issued2004
dc.identifier.urihttp://ethique-economique.net/
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/3296
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.subjectPhilosophyen
dc.subjectEthicsen
dc.subjectEconomicsen
dc.titleBad news for satisfied tenants: On the social construction of social rented housing as dreadful enclosuresen
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractAs long as the social rented sector - which comprised 6% of the housing stock - housed traditional families and the allocation procedures were rather loose, little commotion came about. A combination of changes in family structures (leading to the in stream of ethnic minorities), economic changes (leading to the in stream of poor people), and the strengthening of allocation procedures towards those most in need, did change perceptions. Marginalisation and ghettoisation became during the 1990s the buzzwords when talking and writing about social rented housing. In this article, we will explain the background of the scapegoat trends and the possible consequences for social tenants in particular and for the social rental housing in general.en
dcterms.abstractLorsque le secteur du logement social – environ 6% des logements – hébergeait des familles traditionnelles et allouait ces logements suivant des procédures peu rigoureuses, les commotions étaient plutôt rares. Cette perception a été transformée par une combinaison de changements dans la structure familiale (avec l’arrivée de minorités ethniques), de changements des conjonctures économiques (avec l’augmentation de la population pauvre) et de procédures d’allocation orientées pour répondre aux besoins des plus nécessiteux. Dans le discours et la littérature sur le logement social, marginalisation et ghettoïsation deviennent des termes populaires dans les années 1990. Dans cet article, nous allons expliquer les origines des tendances « bouc émissaires » ainsi que les conséquences pour les locataires de logements sociaux en particulier et pour le logement social en général.en
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1639-1306
dcterms.languageengen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleÉthique et économique = Ethics and economics
oaire.citationVolume2
oaire.citationIssue1


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