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dc.contributor.authorMoked, Oran
dc.date.accessioned2009-11-09T21:26:59Z
dc.date.available2009-11-09T21:26:59Z
dc.date.issued2009-09
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/3136
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/legalcode
dc.subjectéthique appliquéeen
dc.subjectneutralitéen
dc.subjectlibéralismeen
dc.titlePerfectionism, Economic (dis)Incentives, and Political Coercionen
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractMay a government attempt to improve the lives of its citizens by promoting the activities it deems valuable and discouraging those it disvalues? May it engage in such a practice even when doing so is not a requirement of justice in some strict sense, and even when the judgments of value and disvalue in question are likely to be subject to controversy among its citizens? These questions have long stood at the center of debates between political perfectionists and political neutralists. In what follows I address a prominent cluster of arguments against political perfectionism—namely, arguments that focus on the coercive dimensions of state action. My main claim is simple: whatever concerns we might have about coercion, arguments from coercion fall short of supporting a thoroughgoing rejection of perfectionism, for the reason that perfectionist policies need not be coercive. Thlist challenges to this last claim.en
dcterms.abstractUn gouvernement peut-il chercher à améliorer la vie de ses citoyens en encourageant les activités qu'il juge bonnes et en décourageant celles qu'il juge mauvaises? Peut-il s'engager dans une telle pratique, même si cela n'est pas une exigence de justice au sens strict du terme, et même lorsque les jugements de valeur en question sont susceptibles de faire l'objet de controverses parmi ses citoyens? Ces questions ont longtemps été au centre des débats entre perfectionnistes et neutralistes. Dans ce qui suit j'examine un ensemble important d'arguments contre le perfectionnisme politique, à savoir les arguments qui mettent l'accent sur l'action coercitive de l'État. Ma thèse principale est simple: quelles que soient les préoccupations que nous pourrions avoir eu égard à la coercition, il ne suffit pas d'un argument contre la coercition pour un rejet en profondeur du perfectionnisme, car les politiques perfectionnistes ne doivent pas être nécessairement coercitives. Le point principal de cet article est ainsi une réponse à plusieurs défis neutralistes concernant la coercition de l'État.en
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1718-9977
dcterms.languageengen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleLes ateliers de l'éthique = The ethics forum
oaire.citationVolume4
oaire.citationIssue2


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