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dc.contributor.authorCarroll, Ian J.
dc.date.accessioned2009-11-03T20:00:58Z
dc.date.available2009-11-03T20:00:58Z
dc.date.issued2009-06
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/3111
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/legalcode
dc.subjectéthique appliquéeen
dc.subjectneutralitéen
dc.subjectlibéralismeen
dc.titleNeutrality and the social contracten
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractGiven the fact of moral disagreement, theories of state neutrality which rely on moral premises will have limited application, in that they will fail to motivate anyone who rejects the moral premises on which they are based. By contrast, contractarian theories can be consistent with moral scepticism, and can therefore avoid this limitation. In this paper, I construct a contractarian model which I claim is sceptically consistent and includes a principle of state neutrality as a necessary condition. The principle of neutrality which I derive incorporates two conceptions of neutrality (consequential neutrality and justificatory neutrality) which have usually been thought of as distinct and incompatible. I argue that contractarianism gives us a unified account of these conceptions. Ultimately, the conclusion that neutrality can be derived without violating the constraint established by moral scepticism turns out to rely on an assumption of equal precontractual bargaining power. I do not attempt to defend this assumption here. If the assumption cannot be defended in a sceptically consistent fashion, then the argument for neutrality given here is claimed to be morally minimal, rather than fully consistent with moral scepticism.en
dcterms.abstractL’existence d’un désaccord sur les questions morales fait en sorte que les constructions théoriques de la neutralité de l’État se fondant sur des prémisses morales ne peuvent avoir qu’une application limitée, car elles échouent à motiver quiconque rejette ces prémisses fondatrices. Par opposition, les théories contractualistes peuvent s’accommoder d’un scepticisme moral et peuvent donc éviter cette limitation. Cet article développe un modèle contractualiste compatible avec le scepticisme et qui inclut comme condition nécessaire la neutralité de l’État. Le principe de neutralité que je dérive à partir de ce modèle incorpore deux conceptions de la neutralité, soit la neutralité des conséquences et la neutralité de la justification. Ces deux conceptions sont souvent considérées comme étant distinctes et incompatibles; à l’opposé, je soutiens que le contractualisme peut en rendre compte de manière unifiée. L’opération qui consiste à dériver la neutralité à partir du midèle esquissé, sans violer la contrainte établie par un scepticisme moral, repose en bout de piste sur la supposition d’une égalité précontractuelle du pouvoir de négociation. Or,cette hypothèse n’est pas défendue ici. Si cette hypothèse ne peut être défendue de manière compatible avec le scepticisme, alors l’argument pour la neutralité développé dans cet article est moralement minimal plutôt que pleinement cohérent avec le scepticisme moral.en
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1718-9977
dcterms.languageengen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleLes ateliers de l'éthique = The ethics forum
oaire.citationVolume4
oaire.citationIssue2


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