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dc.contributor.authorStroud, Sarah
dc.date.accessioned2008-07-23T20:40:58Z
dc.date.available2008-07-23T20:40:58Z
dc.date.issued2008-03
dc.identifier.urihttp://www.creum.umontreal.ca/IMG/pdf_volume3no1_04_stroud.pdf
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/2518
dc.format.extent266467 bytes
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/legalcode
dc.subjectéthiqueen
dc.subjectéthique publiqueen
dc.subjectéthique appliquéeen
dc.subjectéthique normativeen
dc.titleLa partialité par les projetsen
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractCet article examine la question de savoir comment nous pourrions défendre de la manière la plus efficace la thèse selon laquelle la partialité envers certaines personnes, mais pas envers d’autres, est moralement permise. Les philosophes qui insistentsur le fait que la morale doit faire une place à la partialité n’ont pas rendu explicite leurs raisons pour cette conclusion ; le présent article propose une évaluation comparative d’une variété de stratégies argumentatives qui pourraient être déployées à cette fin. Une stratégie prometteuse fait appel à l’efficacité reconnue de l’argument du « point de vue personnel », qui est ici interprété comme faisant spécifiquement référence aux projets de l’agent. Si les exigences morales doivent être atténuées face à l’importance particulière que l’agent attache à ses propres projets, alors peut-être les attachements partiaux d’un agent à d’autres personnes devraient-ils également bénéficier d’une certaine protection à l’égard des exigences morales impartiales. Nous pouvons renforcer cet argument en relevant l’omniprésence de l’agence plurielle ou collective dans le contexte des relations personnelles : souvent deux agents (ou plus) entrenant de telles relations s’engagent dans des projets communs et peuvent même en venir à constituer un agent pluriel. Cette approche parvient à justifier un traitement moral particulier de nos co-agents, bien qu’elle ne se conforme pas à tous les aspects de notre conception initiale de la partialité.en
dcterms.abstractThis paper investigates how we can most effectively argue that partiality toward certain people and not others is morally permissible. Philosophers who strongly insist that morality must leave room for partiality have not made explicit their basis for this conclusion; the present paper comparatively assesses a variety of possible argument strategies which could be deployed in this regard. One promising strategy exploits the acknowledged force of the argument from “the personal point of view,” here interpreted as referring specifically to an agent’s projects. If moral demands must be tempered in light of the special significance to an agent of his own projects, then perhaps the agent’s partial attachments to other people should also receive a measure of protection from impartial moral claims. The case is bolstered by noting the ubiquity of plural or collective agency in contexts of close personal relations: often the two (or more) agents in such relationships together pursue joint projects and even constitute a plural agent. This approach does justify special moral treatment of one’s co-agents, although it does not match our initial conception of partiality in all respects.en
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1718-9977
dcterms.languagefraen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleLes ateliers de l'éthique = The ethics forum
oaire.citationVolume3
oaire.citationIssue1
oaire.citationStartPage3
oaire.citationEndPage15


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