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dc.contributor.authorOgien, Ruwen
dc.date.accessioned2008-07-23T20:23:55Z
dc.date.available2008-07-23T20:23:55Z
dc.date.issued2008-03
dc.identifier.urihttp://www.creum.umontreal.ca/IMG/pdf_volume3no1_08_ogien.pdf
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/2514
dc.format.extent267533 bytes
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.rights.urihttp://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/2.5/legalcode
dc.subjectéthiqueen
dc.subjectéthique publiqueen
dc.subjectéthique appliquéeen
dc.subjectéthique normativeen
dc.titleSelf-other asymmetryen
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractIn this paper, I present a non standard objection to moral impartialism. My idea is that moral impartialism is questionable when it is committed to a principle we have reasons to reject: the principle of self-other symmetry. According to the utilitarian version of the principle, the benefits and harms to the agent are exactly as relevant to the global evaluation of the goodness of his action as the benefits and harms to any other agent. But this view sits badly with the “Harm principle” which stresses the difference between harm to others and harm to the self. According to the deontological version, we have moral duties to ourselves which are exactly symmetrical to our duties to others. But there are reasons to believe that the idea of a duty to the self is not coherent.en
dcterms.abstractDans cet article, je présente une objection non standard à l’impartialisme moral. Ma thèse est que l’impartialisme est douteux lorsqu’il admet un principe que nous avons des raisons de rejeter: le principe de la symétrie soi-autre. Selon la version utilitariste de ce principe, les bienfaits et les torts faits à l’agent sont d’exactement la même importance à l’évaluation globale du bien d’une action que les bienfaits ou les torts faits à tout autre agent. Mais cette théorie s’harmonise mal avec le « principe de non-nuisance » qui insiste sur la différence entre un tort fait à autrui et à soi-même. Selon la version déontologique, nous avons des devoirs moraux envers nousmêmes exactement symétriques à nos devoirs envers autrui. Mais il y a des raisons de croire que l’idée d’un devoir envers soi-même n’est pas cohérente.en
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1718-9977
dcterms.languageengen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleLes ateliers de l'éthique = The ethics forum
oaire.citationVolume3
oaire.citationIssue1
oaire.citationStartPage79
oaire.citationEndPage89


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