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dc.contributorMoutsopoulos, Michèle
dc.contributor.authorPiché, Claude
dc.date.accessioned2021-03-16T13:56:55Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2021-03-16T13:56:55Z
dc.date.issued1997
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/24913
dc.publisherSociété hellénique d'études kantiennesfr
dc.publisherUnion scientifique franco-helléniquefr
dc.publisherCentre culturel hellénique de Parisfr
dc.subjectKantfr
dc.subjectFichtefr
dc.subjectSchopenhauerfr
dc.subjectSouverain bienfr
dc.subjectBonheurfr
dc.subjectSalairefr
dc.subjectRemuneratio gratuitafr
dc.subjectHighest goodfr
dc.subjectHappinessfr
dc.subjectSalaryfr
dc.titleLa place du bonheur dans la doctrine de la vertufr
dc.typeChapitre de livre / Book chapterfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dcterms.abstractLe lecteur de la Critique de la raison pratique risque d’être intrigué par le fait que Kant affirme dans l’Analytique que le bonheur ne doit jouer aucun rôle dans la motivation à agir selon la loi morale, alors que la Dialectique réintroduit de manière inopinée le thème du bonheur comme faisant l’objet d’une attente raisonnable de la part du sujet moral vertueux. Or, tant Fichte que Schopenhauer exprimeront des réserves face à ce geste de Kant. Dans cet article, je cherche à montrer que les trois explications habituellement fournies pour rendre plausible cette espérance en un bonheur proportionnel à la vertu sont sujettes à caution : 1) le dualisme ontologique (suprasensible/sensible), 2) le préjugé religieux de Kant (F. Schroeter) et 3) une concession faite par Kant à la faiblesse de la nature humaine (L. W. Beck). J’avance alors une autre explication, fondée sur la conception kantienne de la raison pratique.fr
dcterms.abstractThe reader of the Critique of Practical Reason is often puzzled by Kant’s claim in the Analytic that happiness must not play any role in the motivation to act according to the moral law, whereas the Dialectic unexpectedly reintroduces the topic of happiness as a reasonable expectation from the part of the virtuous moral subject. In fact, both Fichte and Schopenhauer had reservations about this move. In this paper I argue that the three explanations usually provided in order to make sense of the hope for happiness are questionable: 1) the ontological dualism (intelligible/sensible), 2) Kant’s religious prejudice (F. Schroeter), and 3) a concession made by Kant to the weakness of human nature (L. W. Beck). I give another explanation, based on Kant’s conception of practical reason.fr
dcterms.descriptionVersion de travail (pre-print).fr
dcterms.descriptionAttention! Le mot "privé" figurant dans le titre de la version publiée a été ajouté accidentellement par l'éditeur et il dénature le sens du propos de l'auteur. De plus, la lecture de la version publiée est rendue difficile en raison de l'absence de nombreux guillemets devant les citations.fr
dcterms.descriptionCette contribution est issue des actes du 3e Congrès de la Société internationale d'études kantiennes de langue française, tenu à Athènes, du 14 au 17 mai 1997.fr
dcterms.languagefrafr
UdeM.ReferenceFournieParDeposant« La place du bonheur dans la Doctrine de la vertu », dans: E. Moutsopoulos (dir.), Droit et vertu chez Kant. Actes du IIIe Congrès de la Société internationale d'études kantiennes de langue française, Athènes, Société hellénique d'études philosophiques, 1997, p. 189-202.fr
oaire.citationTitleDroit et vertu chez Kant : Kant et la philosophie grecque et modernefr
oaire.citationStartPage189fr
oaire.citationEndPage202fr


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