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dc.contributor.authorFreitag, Michel
dc.date.accessioned2008-07-23T17:16:41Z
dc.date.available2008-07-23T17:16:41Z
dc.date.issued2006-12
dc.identifier.urihttp://www.creum.umontreal.ca/IMG/pdf_11_ATELIERS_VOL1N2_Freitag.pdf
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/2484
dc.format.extent151224 bytes
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.subjectéthiqueen
dc.subjectéthique publiqueen
dc.subjectéthique appliquéeen
dc.subjectéthique normativeen
dc.titleCombien de temps le développement peut-il encore durer ?en
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractLa forme générale qu’a prise le « développement » de l’humanité sous l’égide du capitalisme et des révolutions technologiques comporte elle aussi, d’ores et déjà, des conséquences irréversibles à très long terme, et l’avenir que nous pouvons entrevoir n’est pas tellement incertain qu’inquiétant. Cette inquiétude est évidemment renforcée par la dynamique qui s’impose à travers la globalisation néolibérale dont les conséquences les plus massives sont très prévisibles, à moins d’un renversement radical du mouvement et donc des impulsions qui le produisent. Ainsi, le choix qu’exige le très long terme s’impose-t-il désormais à nous en état d’urgence. Il y a là un paradoxe que ni la pensée spéculative, ni la praxis engagée ne peuvent surmonter sans être saisies par le dilemme de la légèreté cynique ou de l’accablement fataliste: n’est-il pas déjà trop tard pour rêver au bien commun, pour espérer un avenir meilleur plutôt que de seulement s’attendre au pire ?en
dcterms.abstractThe general form that the “development” of humanity took under the aegis of capitalism and technological revolutions also comprises irreversible consequences in the very long term,and the future which we can foresee is not as much dubious as it is very worrying. This concern is obviously reinforced by the essential dynamics of the neoliberal globalisation, whose worst consequences are already foreseeable, unless a radical inversion of this movement and thus of the impulses which produce it takes place.The choice which the very long term thus requires is, from now on, an urgent one. There is a paradox that neither speculative thought,nor the committed praxis,can overcome without being seized upon by the dilemma of cynical lightness or fatalism: isn't it already too late to dream of the common good, to hope for a better future rather than to solely expect the worst?en
dcterms.descriptionarticleen
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1718-9977
dcterms.languagefraen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleLes ateliers de l'éthique = The ethics forum
oaire.citationVolume1
oaire.citationIssue2
oaire.citationStartPage115
oaire.citationEndPage130


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