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dc.contributor.authorBoatright, John
dc.date.accessioned2008-07-23T17:02:41Z
dc.date.available2008-07-23T17:02:41Z
dc.date.issued2006-05
dc.identifier.urihttp://www.creum.umontreal.ca/IMG/pdf/ATELIERS_VOL1N1_03_42_57.pdf
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/2481
dc.format.extent113698 bytes
dc.format.mimetypeapplication/pdf
dc.publisherCentre de recherche en éthique de l'Université de Montréal
dc.subjectéthiqueen
dc.subjectéthique publiqueen
dc.subjectéthique appliquéeen
dc.subjectéthique normativeen
dc.titleQuel avenir pour la gestion des parties prenantes?en
dc.typeArticleen
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Centre de recherche en éthiquefr
dcterms.abstractAu cours des dernières années, le concept de parties prenantes (stakeholders) est, sans aucun doute, l’une des contributions les plus importantes au domaine de l’éthique des affaires. Ce concept exprime un impératif moral en vertu duquel les gestionnaires se doivent de considérer les intérêts de l’ensemble des parties prenantes. Dans sa forme la plus généralement admise, la liste des parties prenantes comprend les employés, les clients, les fournisseurs et la communauté, de même que les actionnaires et les autres investisseurs. Les défenseurs de la gestion des parties prenantes ont raison sur un point : la société à but lucratif moderne doit servir les intérêts de tous les groupes de parties prenantes. Mais là où la gestion des parties prenantes échoue, c’est dans le fait de ne pas reconnaître que des gestionnaires qui agissent dans l’intérêt des actionnaires peuvent aussi,par le fait même,agir dans l'intérêt de tous les groupes de parties prenantes. En effet, dans la mesure où le marché est capable de fournir les bénéfices désirés aux différents groupes de parties prenantes, les gestionnaires n’ont pas explicitement besoin de considérer leurs intérêts lorsqu'ils prennent une décision.Néanmoins,les partisans de la théorie de la gestion des parties prenantes ont raison de rappeler que chacun de ces groupes devraient pouvoir bénéficier des activités de l’entreprise. Ils ont également raison de chercher à rendre les gestionnaires attentifs à leurs responsabilités de créer de la richesse au bénéfice de tous.en
dcterms.abstractThe concept of stakeholders is, without any doubt, one of the most important contributions to the field of business ethics in the recent years. This concept articulates a moral requirement in virtue of which managers must consider the interests of all stakeholders. In its most common form, the list of stakeholders includes the employees, the customers, the suppliers and the community, as well as shareholders and other investors.The defenders of the stakeholders management theory are right on one point: the modern lucrative business must serve the interests of all stake-holding groups. But the stakeholders management theory fails in not recognizing that managers acting in the interest of the shareholders also can, by the same token, act in the interests of all stakeholders. Indeed, insofar as the market is able to provide the benefits wished by the various stakeholders,the managers do not explicitly need to consider their interests when they make a decision.Nevertheless,partisans of the stakeholders management theory are right to prompt that each one of these groups should be able to profit from the activities of the company. They are also right to recall the responsibilities of managers in creating wealth for the benefit of all.en
dcterms.descriptionarticleen
dcterms.isPartOfurn:ISSN:1718-9977
dcterms.languagefraen
UdeM.VersionRioxxVersion publiée / Version of Record
oaire.citationTitleLes ateliers de l'éthique = The ethics forum
oaire.citationVolume1
oaire.citationIssue1
oaire.citationStartPage47
oaire.citationEndPage57


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