dc.contributor.author | Guillin, Vincent | |
dc.date.accessioned | 2020-05-01T19:54:21Z | |
dc.date.available | 2020-05-01T19:54:21Z | |
dc.date.issued | 2020-05 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/23312 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | Penser dans la perspective du pire : prolégomènes à une philosophie des catastrophes | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | Dans ces « Prolégomènes à une philosophie des catastrophes », on avance qu'une réflexion philosophique sur ces phénomènes doit s’obliger à travailler dans une extension maximum (en abordant la question du point de vue métaphysique, ontologique, épistémologique, esthétique, éthique et politique) et en explorant toutes les ressources que nous offre la pensée comme outil cognitif (décrire, comprendre, expliquer), émotionnel (sentir et ressentir, éprouver), prédictif (prévoir, imaginer) et normatif (juger, décider). Penser les catastrophes au pluriel, c’est aussi se rendre compte qu’historiquement, le monde n’en finit pas de finir dans l’esprit des hommes et que cette possibilité de la fin a suscité en eux des réflexions d’une grande variété (de l’effroi le plus glaçant à l’enthousiasme le plus ardent) qui valent la peine d’être analysées chacune pour elle-même. | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | fr |
oaire.citationTitle | Ithaque | |
oaire.citationIssue | 26 | |
oaire.citationStartPage | 85 | |
oaire.citationEndPage | 125 | |