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dc.contributor.advisorRoger, Michel
dc.contributor.authorLeyre, Louise
dc.date.accessioned2019-07-30T13:40:09Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-07-30T13:40:09Z
dc.date.issued2019-03-07
dc.date.submitted2018-08
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/22326
dc.subjectRéservoir du VIHfr
dc.subjectInfection aigüefr
dc.subjectTraitement précocefr
dc.subjectTissus lymphoïdesfr
dc.subjectCellules T CD4+ mémoiresfr
dc.subjectHIV reservoirfr
dc.subjectAcute infectionfr
dc.subjectEarly treatmentfr
dc.subjectLymphoid tissuesfr
dc.subjectMemory CD4+ T cellsfr
dc.subject.otherBiology - Virology / Biologie - Virologie (UMI : 0720)fr
dc.titleÉtablissement et persistance du réservoir du VIH chez des individus traités très tôt en phase aigüe de l’infection (cohorte RV254)fr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineMicrobiologie et immunologiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractLes thérapies antirétrovirales (TAR) ont grandement amélioré la qualité de vie des personnes infectées par le VIH qui y ont accès. Cependant, ces thérapies ne permettent pas d’éradiquer le virus qui persiste sous forme latente au sein des cellules T CD4+ de longue vie, formant ainsi un réservoir viral qui représente un des obstacles majeurs vers la guérison du VIH. De nombreuses études ont montré que l’initiation de TAR en phase aigüe permet de retarder le rebond viral voire même dans certains cas de contrôler la virémie du virus suite à une interruption de traitement. Néanmoins, le moment et la localisation de l’établissement du réservoir du VIH pendant l’infection aigüe restent incertains. En utilisant des échantillons de sang et de tissus lymphoïdes de participants en phase aigüe d’infection, nous montrons que le virus s’intègre en premier lieu dans les cellules des ganglions lymphatiques et du colon et atteint des fréquences maximales de cellules infectées dès le stade Fiebig II, soit avant la séroconversion. De plus, nous observons que l’initiation précoce de TAR diminue drastiquement le nombre de cellules infectées et ce dans tous les compartiments. Toutefois quelques cellules infectées persistent dans les ganglions lymphatiques. Nos résultats suggèrent qu’un grand nombre de cellules sont infectées très tôt au cours de l’infection aigüe mais elles forment un réservoir instable qui est rapidement éliminé suite à l’initiation précoce de TAR.fr
dcterms.abstractAntiretroviral therapies (ART) have largely increased the life expectancy of the HIV infected individuals who have access to it. Nonetheless, these therapies can’t eradicate the virus that persist in a latent state in long-lived CD4+ T cells. These infected cells form a viral reservoir that remains the main obstacle to a cure. Several studies have shown that initiation of ART during the acute infection can lead to a delay in the viral rebound or in some cases to viremia control after a treatment interruption. However, the timing and location of the establishment and persistence of the viral reservoir during acute infection remain unclear. Using, blood and lymphoid tissues samples from acutely infected participants, we observed that the virus is firstly integrated in lymph nodes and colon cells and reaches a maximum frequency of infected cells at the Fiebig stage II, i.e. before seroconversion in the tissues. Moreover, we saw that a very early initiation of ART results in a drastic decrease of the number of infected cells in all compartments. Nonetheless a few infected cells persist under ART in the lymph nodes. Our results suggest that a large number of cells are infected early in tissues before moving into the blood during the acute infection. Nonetheless, these infected cells form a labile HIV reservoir which is rapidly, but incompletely, eliminated by an early initiation of ART.fr
dcterms.languagefrafr


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