Show item record

dc.contributor.advisorMailhot, Geneviève
dc.contributor.advisorJomphe, Valérie
dc.contributor.authorDurette, Gabrielle
dc.date.accessioned2019-07-29T16:02:16Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-07-29T16:02:16Z
dc.date.issued2019-05-02
dc.date.submitted2018-12
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/22301
dc.subjectfibrose kystiquefr
dc.subjectgreffe pulmonairefr
dc.subjectdensité minérale osseusefr
dc.subjectosfr
dc.subjectanthropométriefr
dc.subjectpoidsfr
dc.subjectIMCfr
dc.subjectmaladie osseuse associée à la fibrose kystiquefr
dc.subjectcystic fibrosisfr
dc.subjectlung transplantfr
dc.subjectbone mineral densityfr
dc.subjectbonefr
dc.subjectanthropometryfr
dc.subjectweightfr
dc.subjectBMIfr
dc.subjectcystic fibrosis bone diseasefr
dc.subject.otherHealth Sciences - Nutrition / Sciences de la santé - Alimentation et nutrition (UMI : 0570)fr
dc.titleEffets de la greffe pulmonaire sur la densité minérale osseuse et l’anthropométrie des individus atteints de fibrose kystiquefr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineNutritionfr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractBien que la perte de densité minérale osseuse (DMO) et l’évolution du poids après une greffe pulmonaire soient bien documentées, il en est autrement pour les greffés atteints de fibrose kystique (FK) où l’évolution à long terme demeure inconnue. Pourtant, ces éléments influencent la qualité de vie des patients; une faible DMO augmente le risque de fractures alors qu’un poids inadéquat augmente le risque de mortalité et la survenue de complications cardiométaboliques. Le présent projet de recherche vise donc à décrire l’évolution de la DMO et du poids suite à la greffe pulmonaire ainsi qu’à identifier les prédicteurs de leur variation à différents temps post-greffe. Pour ce faire, un devis rétrospectif sur dossiers médicaux a été employé chez une cohorte de 131 greffés pulmonaires atteints de FK transplantés au Centre hospitalier de l’Université de Montréal entre 2000 et 2015. Les paramètres osseux (DMO, bilan phosphocalcique, 25-OH-vitamine D, PTH, ostéocalcine, C-télopeptides), anthropométriques (taille, poids, IMC) et cliniques (médicaments et suppléments) des sujets ont été colligés en pré-greffe ainsi qu’au moment des suivis de 6 mois, 1 an, 2 ans, 5 ans et 10 ans post-greffe. Les variations de poids en kg par rapport au poids à la greffe et les variations annualisées de DMO depuis l’évaluation initiale ont été calculées. Nos résultats ont démontré en moyenne des gains de poids à tous les suivis post-greffe. La prévalence des individus en sous-poids a diminué entre l’évaluation (36,6 %), la greffe (26,0 %) et les suivis post-greffe (21,4 %, 11,6 %, 10,3 % et 8,5 %,) à l’exception du suivi de 10 ans (18,2 %). L’obésité, inexistante avant la greffe, a été observée chez 0,8 à 3,0 % des sujets en post-greffe. Les modèles de régression ont prédit fortement la variance de la variation du poids (kg) des quatre points de suivis post-greffe (r2 > 98,3 %). Le sexe, l’IMC à la greffe et l’IMC du suivi étudié se sont avérés des prédicteurs à tous les suivis. La durée de l’hospitalisation lors de la greffe l’a été au suivi de 6 mois. À court terme après la greffe, la perte de DMO entre l’évaluation pré-greffe et le suivi de 6 mois a été significativement plus prononcée au fémur qu’en lombaire. À moyen et long terme, une évolution positive a plutôt été observée. Les modèles de régression, quant à eux, ont prédit modestement la variance de la variation de la DMO (fémorale 1 an : r2 = 27,5 %, lombaire 1 an : r2 =28,3 % et fémorale 5 ans : r2 = 47,7 %). Notre étude a démontré que les individus en sous-poids au moment de l’évaluation pré-greffe parviennent à reprendre du poids de façon substantielle après la greffe. Une problématique de gain pondéral trop important est aussi observée chez certains, ce qui pourrait augmenter leur risque de complications cardiométaboliques. La perte de DMO observée entre l’évaluation initiale et six mois post-greffe se rétablie par la suite, mais n’engendre qu’un faible gain net de DMO par rapport à la DMO pré-greffe, qui était déjà abaissée. Ainsi, malgré l’initiation d’une thérapie aux bisphosphonates chez la majorité d’entre eux, les greffés FK conservent un statut osseux sous-optimal même dix ans après la greffe.fr
dcterms.abstractPost-lung transplant weight and bone mineral density (BMD) early changes have been well-documented, but little is known about mid- to long-term changes, particularly among cystic fibrosis (CF) recipients. Post-lung transplant weight and BMD trajectories have important clinical implications, as low BMD may increase the risk of fractures whereas weight gain is associated with increased cardiometabolic and mortality risk. This study aims to document post-lung transplant BMD and weight changes and assess their predictors. To achieve this goal, we retrospectively examined a cohort of 131 CF patients who underwent lung transplant between 2000 and 2015 at the Centre hospitalier de l’Université de Montréal. Bone parameters (BMD and serum calcium, phosphate, 25OHD, PTH, osteocalcin, C-telopeptides), anthropometric (height, weight and BMI) and clinical data (medications and supplements) were collected during the waiting period, at transplant, and at 6 months, 1 year, 2 years, 5 years and 10 years post-transplant. Absolute weight changes since transplant (kg) and annualized percentages BMD changes since pre-transplant were computed. Our results showed a gradual increase in weight up to 10 years post-transplant. Proportion of underweight patients decreased between initial evaluation (36.6 %), transplant (26.0 %) and post-transplant follow-up (21.4 %, 11.6 %, 10.3 % and 8.5 %,) except at 10 years post-transplant where it increased (18.2 %). While obesity was nonexistent during the waiting period, a small proportion of patients developed it after transplant (0.8 % to 3.0 %). The final regression models strongly predicted the variance of weight changes (kg) at 6 months, 1, 2 and 5 years (r2 > 98.3 %). Sex, BMI at transplant and BMI post-transplant were significant predictors of weight changes at all post-transplant timepoints. The length of hospital stay after transplant was also a predictor of weight changes at 6 months post-transplant. The loss of BMD occurring between pre-transplant and 6 months post-transplant was more pronounced at the femoral neck than the lumbar spine. However, this loss is transient as recovery of BMD is observed over the long term. Regression models modestly predicted the variance of annualized percentages BMD changes (1- and 5-year femoral neck: r2 = 27.5 and 47.7 %, 1 year lumbar spine: r2 = 28.3 %). A majority of underweight CF recipients reach normal weight after transplant. However, the excessive weight gain seen in a number of subjects may have health implications. After transplant, BMD of CF recipients increased progressively to reach pre-transplant values, but remained suboptimal in most cases, despite the use of bisphosphonates.fr
dcterms.languagefrafr


Files in this item

Thumbnail

This item appears in the following Collection(s)

Show item record

This document disseminated on Papyrus is the exclusive property of the copyright holders and is protected by the Copyright Act (R.S.C. 1985, c. C-42). It may be used for fair dealing and non-commercial purposes, for private study or research, criticism and review as provided by law. For any other use, written authorization from the copyright holders is required.