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dc.contributor.advisorTermote, Marc
dc.contributor.advisorMarois, Guillaume
dc.contributor.authorHanane, Allamine Alhadj
dc.date.accessioned2019-05-24T19:59:33Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-05-24T19:59:33Z
dc.date.issued2019-03-13
dc.date.submitted2018-04
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/21978
dc.subjectimmigrationfr
dc.subjectintégrationfr
dc.subjectemploifr
dc.subjectfemmesfr
dc.subjectminorités visiblesfr
dc.subjectnoiresfr
dc.subjectQuébecfr
dc.subjectintegrationfr
dc.subjectemploymentfr
dc.subjectwomenfr
dc.subjectvisible minoritiesfr
dc.subjectblacksfr
dc.subjectQuebecfr
dc.subject.otherSociology - Demography / Sociologie - Démographie (UMI : 0938)fr
dc.titleL'intégration différenciée à l’emploi au Québec chez les immigrantes issues de l’Afrique subsaharienne francophone et non francophone, et des Antilles francophones et non francophonesfr
dc.typeThèse ou mémoire / Thesis or Dissertation
etd.degree.disciplineDémographiefr
etd.degree.grantorUniversité de Montréalfr
etd.degree.levelMaîtrise / Master'sfr
etd.degree.nameM. Sc.fr
dcterms.abstractAvec au sein de sa population 20,6 % de personnes nées à l’étranger, le Canada arrive (en 2011) au premier rang parmi les pays du G8. Le Québec représente 14,4 % de la population née à l’étranger vivant au Canada en 2011, soit au troisième rang après la province de l’Ontario et celle de la Colombie-Britannique. La question de l’intégration des immigrants est donc un défi majeur pour les gouvernements, puisqu’elle conditionne leur contribution au développement socioéconomique du pays. Néanmoins, la situation sur le marché du travail des immigrants du Québec est plus préoccupante qu’ailleurs au Canada, en particulier celle des femmes immigrantes issues des minorités visibles. Basée sur les données de l’enquête de 2011 de Statistique Canada auprès des ménages, la présente étude a pour but de comparer et d’analyser l’intégration à l’emploi au Québec de quatre groupes de femmes, soit celles nées en Afrique subsaharienne francophone, en Afrique subsaharienne non francophone, dans les Antilles francophones, et dans Antilles non francophones (tout en les comparant aux femmes nées ailleurs). Pour y arriver, deux méthodes d’analyse sont utilisées. D’un côté, une analyse descriptive qui croise toutes les variables explicatives de l’étude à la variable dépendante. De l’autre côté, une analyse de régression logistique qui teste la chance d’être en emploi. Les résultats des analyses démontrent que les femmes nées dans les Antilles francophones ont dans l’ensemble plus de chances d’être en emploi sur le marché de l’emploi québécois que les femmes nées en Afrique subsaharienne francophone, en Afrique subsaharienne non francophone et dans les Antilles non francophones. En outre, les résultats démontrent que les facteurs comme l’âge, l’âge à l’immigration, le nombre d’années vécues au Canada, le niveau et le lieu de scolarité, la connaissance des langues officielles, la langue maternelle, la première langue parlée à la maison, l’âge du plus jeune enfant, la religion et la région de résidence, influencent la chance de notre population cible d’être en emploi.fr
dcterms.abstractWith (in 2011) 20.6% of its population being foreign-born, Canada ranks first among the G8 countries according to this indicator. The province of Quebec represents 14.4% of the foreign-born population living in Canada in 2011. This province ranks third after the provinces of Ontario and British Columbia. The issue of immigrant integration is therefore a major challenge for governments, as it conditions their contribution to the socio-economic development of the country. Nevertheless, the labor market situation of Quebec immigrants is more problematic than elsewhere in Canada, and in particular that of immigrant women from visible minorities. Using data from the 2011 Canadian Household Survey, this study aims to compare and analyze the integration of four groups of women: those born in french-speaking sub-Saharan Africa, in not-french-speaking sub-Saharan Africa, in the french-speaking West Indies, and in the not-french-speaking West Indies (while comparing them to women born elsewhere). To achieve this, two methods of analysis are used. On the one hand, a descriptive analysis that crosses all explanatory variables of the study with the dependent variable. On the other hand, a logistic regression analysis that tests the chance of being in employment. The results of these analyses show that women born in the French-speaking West Indies are generally more likely to be employed on the Quebec job market compared to women born in french-speaking sub-Saharan Africa, non-french-speaking sub-Saharan Africa and the non-french-speaking West Indies. In addition, the results show that factors such as age, age at immigration, number of years lived in Canada, level and place of education, knowledge of official languages, mother tongue, first language spoken at home, age of the youngest child, religion, and region of residence, influence the odds of being employed in Quebec for our target population.fr
dcterms.languagefrafr


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