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dc.contributorSchüssler, Ingeborg
dc.contributorErismann, Christophe
dc.contributor.authorPiché, Claude
dc.date.accessioned2019-04-01T17:49:06Z
dc.date.availableNO_RESTRICTIONfr
dc.date.available2019-04-01T17:49:06Z
dc.date.issued2001
dc.identifier.urihttp://hdl.handle.net/1866/21515
dc.publisherLibrairie philosophique J. Vrinfr
dc.subjectKantfr
dc.subjectOpus postumumfr
dc.subjectAutoconstitutionfr
dc.subjectÉpigenèsefr
dc.subjectAuto-affectionfr
dc.subjectSelf-constitutionfr
dc.subjectEpigenesisfr
dc.subjectSelf-affectionfr
dc.titleL’autoconstitution du sujet connaissant dans l’opus postumumfr
dc.typeContribution à un congrès / Conference objectfr
dc.contributor.affiliationUniversité de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophiefr
dcterms.abstractJe cherche à montrer ici qu’il n’y a pas véritablement rupture entre la CRP et l’Opus postumum en regard du thème de l’autoconstitution du sujet connaissant. Bien sûr, l’exposition de l’espace et du temps de même que des catégories dans la première édition de la CRP peut paraître au premier abord assez statique. En effet, si nous pouvons dire de la CRP qu’elle est une oeuvre de philosophie génétique, la préoccupation de Kant porte d’abord sur l’engendrement transcendantal de l’expérience et sur la genèse de l’apparence transcendantale, et non pas sur la production des formes pures de la connaissance, malgré certains indices en ce sens. Mais dans la seconde édition les précisions apportées à propos des « éléments » purs de la connaissance touchant par exemple l’« auto-affection » (Esthétique) ou encore l’« épigenèse » (§27 de la Déduction) font état d’une dynamique qui était déjà implicitement présente en 1781, comme en témoignent les Reflexionen des années 1770.fr
dcterms.abstractI argue in this article that there is no break between the CPR and the Opus postumum with respect to the theme of the self-constitution of the knowing subject. To be sure, the exposition of space and time as well as of the categories may seem at first sight quite static in the first edition of the CPR. In fact, if we may say that the CPR contains a genetic philosophy, Kant is primarily concerned with the transcendental genesis of experience and with the genesis of transcendental illusion, and not with the production of the pure forms of knowledge. But the precisions brought by the second edition concerning the pure “elements” of knowledge, namely « self-affection » (Aesthetics) and “epigenesis” (§27 of the Deduction), describe a dynamic that was implicitly present in 1781, as the Reflexionen of the 1770s tend to prove it.fr
dcterms.descriptionCeci est une version de travail (prépublication)
dcterms.languagefrafr
UdeM.ReferenceFournieParDeposantISBN 2-7116-1451-4, p. 127-134.fr
oaire.citationTitleAnnées 1796-1803, Kant, Opus postumum : philosophie, science, éthique et théologie : actes du 4e Congrès international de la Société d'études kantiennes de langue française
oaire.citationStartPage127
oaire.citationEndPage134
oaire.citationConferencePlaceLausanne (Suisse)
oaire.citationConferenceDate1999-10-21 - 1999-10-23


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