dc.contributor.author | Boileau, Xavier | |
dc.date.accessioned | 2018-04-02T19:27:00Z | |
dc.date.available | 2018-04-02T19:27:00Z | |
dc.date.issued | 2018 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/19901 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | La signification minimale : un enjeu politique | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | Un état libéral peut-il légitimement protéger une langue sans pour autant être accusé de faire la promotion de valeurs particulières, soit sans enfreindre la neutralité libérale ? L’objectif de notre réflexion est de légitimer la promotion des langues dans une perspective libérale en montrant que la langue est un bien institutionnel relativement neutre qui contribue à l’autonomie des individus. Si Kymlicka a développé une position politique qui va en ce sens, celui-ci n’a cependant pas considéré les difficultés auxquelles celle-ci était exposée en philosophie du langage. Nous chercherons à montrer en quoi un débat bien particulier sur la signification qui oppose deux courants, le minimalisme et le contextualisme, à des impacts sur cette position politique de Kymlicka. | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | fr |
oaire.citationTitle | Les Cahiers d'Ithaque | |
oaire.citationStartPage | 15 | |
oaire.citationEndPage | 41 | |