dc.contributor.author | Perrier, Jean-François | |
dc.date.accessioned | 2017-11-13T17:50:22Z | |
dc.date.available | 2017-11-13T17:50:22Z | |
dc.date.issued | 2012-12 | |
dc.identifier.uri | http://hdl.handle.net/1866/19612 | |
dc.publisher | Société Philosophique Ithaque | |
dc.rights | Ce texte est publié sous licence Creative Commons : Attribution – Pas d’utilisation commerciale – Partage dans les mêmes conditions 2.5 Canada. | |
dc.rights.uri | http://creativecommons.org/licenses/by-nc-sa/2.5/ca/legalcode.fr | |
dc.title | La réplique de la vie. Réflexions sur les animaux et la place de l’homme dans L’évolution créatrice | fr |
dc.type | Article | fr |
dc.contributor.affiliation | Université de Montréal. Faculté des arts et des sciences. Département de philosophie | fr |
dcterms.abstract | L’objectif de cet article est d’expliciter la pensée de Bergson relativement aux animaux et à l’humain dans L’évolution créatrice. Selon lui, c’est le défaut de l’humain qui lui octroie un privilège sur le reste du vivant : jeté hors de la tranquillité dans laquelle vivent les plantes et les animaux, l’humain s’ouvre à sa propre finitude et, par là, à la communauté morale. Nous soutiendrons, en suivant Bergson à la lettre, qu’il apparaît difficile, voire impossible, d’accorder à l’humain le privilège qu’il s’octroie à lui-même. S’il y a une scission au sein du vivant, celle-ci ne se situe pas entre l’animal et l’humain, mais bien plutôt entre le végétal et l’animal. Cette scission se caractérise par l’avènement de la non-naturalité, c’est-à- dire d’une relative liberté, qui caractérise tant l’humain que l’animal. | fr |
dcterms.isPartOf | urn:ISSN:1703-1001 | |
dcterms.language | fra | fr |
UdeM.VersionRioxx | Version publiée / Version of Record | |
oaire.citationTitle | Ithaque | |
oaire.citationIssue | 21 | |
oaire.citationStartPage | 177 | |
oaire.citationEndPage | 200 | |